Au revoir la-haut de Pierre Lemaitre
Fiche de lecture : Au revoir la-haut de Pierre Lemaitre. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Matheo Routier • 28 Novembre 2021 • Fiche de lecture • 906 Mots (4 Pages) • 590 Vues
Au revoir la-haut de Pierre Lemaitre
La guerre, justement, en octobre 1918, sur le front, le lieutenant d’Aulnay-Pradelle reçu des échos annonçant un armistice. Contrairement aux rumeurs, à la propagande du début, qui servaient à encourager les soldats français, à allaient écraser l’ennemi, et monter à l’assaut parce qu’ils avaient la trouille d’allait se battre et de mourir, cette rumeurs semblait être vrai.
Il s’en rendait compte, son refus de croire à l’approche d’un armistice était dû au faites qu’il aimait monter à l’assaut, conquérir du terrain sur l’ennemi et tuer des Boches. Sauf que, jour après jour, ces information arrivèrent par vagues de plus en plus serrées et que partout on se mit à répéter que la guerre allait vraiment prendre fin. On lut même des discours, c’était à peine croyable, sur la nécessité de démobiliser les soldats les plus vieux qui se traînaient sur le front depuis des années. Quand l’armistice devient une perspective raisonnable , l’espoir dans sortir vivant commença à tarauder les plus pessimistes. En conséquence de quoi question offensive plus aucun soldats n’était très chaud. La 163è DI allait tenter de passer en force de l’autre côté de la Meuse. Le lieutenant d’Aulnay-Pradelle voulait encore en découdre avec l’ennemi. Vu d’en haut, du côté du lieutenant d’Aulnay-Pradelle et des officiers, depuis la victoire des Alliés dans les Flandres, la libération de Lille la déroute Autrichienne, la capitulation des Turcs, on se sentait beaucoup plus frénétique que les soldats. La réussite de l’offensive italienne, les Anglais à Tournai, les Américains à Châtillon… on voyait qu’il fallait attaquer prendre du terrain sur l’ennemi mais il fallait que la compagnie entière voulaient bien attaquer.
Le gros de l’unité, les soldats se mirent à jouer la montre, le temps et on discerna une ligne de partage très nette entre ceux qui, comme le lieutenant d’Aulnay-Pradelle, les officiers qui préféraient monter à l’assaut gagner du terrain sur l’ennemi, s’étriper encore quelques temps avec les Boches, ce présenter en position de force à la table des négociations et ceux qui comme Albert et la plus part des soldats auraient volontiers attendu la fin de la guerre assis là, dans les tranchées, tranquillement, avec leur barda. Cette ligne de démarcation correspondait exactement à celle qui séparait les soldats, les poilus ce qui sont en bas de l’échelle, de tous les autres hommes.Rien de nouveau se disait le lieutenant d’Aulnay-Pradelle les soldats ont peur, ils ne veulent pas monter à l’assaut histoire de rester dans les tranchées à attendre la fin de la guerre pour rentrer chez eux, revoir leurs familles, sans avoir à tuer l’ennemi, les allemands, qui auront aucune pitié à vous tuer
même si auparavant vous leurs aviez épargner la
vie.Pour un peu ils vous soutiendraient que
conquérir trente mètres ne change rien de l’issue
de ca grand et interminable conflit et que mourir
aujourd’hui, mourir le dernier c’est comme le
mourir le premier rien de plus con
C’est a cette catégorie qu’appartenait le soldat
Maillard, Albert Maillard personne le connaissait
vraiment il était assez discret, le lieutenant
d’Aulnay-Pradelle ne l’aimait pas, peut-être
parce qu’il faisait toujours exprès de laissée
...