Analyse De: "La Critique Des Pouvoirs Politique Et Religieux", Lettre XXIV, Les Lettres Persanes, 1721, Charles-Louis De Secondat, Baron De La Brède Et De Montesquieu
Recherche de Documents : Analyse De: "La Critique Des Pouvoirs Politique Et Religieux", Lettre XXIV, Les Lettres Persanes, 1721, Charles-Louis De Secondat, Baron De La Brède Et De Montesquieu . Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Ellmorta • 5 Janvier 2014 • 949 Mots (4 Pages) • 2 686 Vues
INTRODUCTION.
● Montesquieu (1689-1755), et né dans une famille de petite noblesse très engagée dans les procès. Orphelin en 1696, il est placé dans un collège d’Oratoriens dans le diocèse de Meaux et reçoit la meilleure éducation de son siècle. Dès son arrivée à Paris, en 1713, il rentre en contact avec les milieux littéraires. A 24 ans, à la mort de son père, il est avocat et gros propriétaire. Mais il ne s’est pas vraiment intéressé à la procédure, se livrant à son goût dominant, à savoir la vie intellectuelle et l’écriture.
En 1727, il est élu à l’Académie Française, et en 1730, il adhère à une loge maçonnique. Toute sa vie, il est resté un gentilhomme provincial, c’est-à-dire qu’il avait des rapports très simples avec ses paysans auxquels il distribuait son blé en temps de famine et dont il recueillait les enfants orphelins ou abandonnés.
Ses deux œuvres parues l’une en 1748, l’autre en 1721, De l’Esprit des lois et les Lettres persanes dont est extrait ce passage, le situent bien dans son siècle.
● Les Lettres persanes a connu un vif succès dès sa parution. Mais en 1751, le livre est convaincu d’impiété par l’Abbé Gautier qui signale ses combats philosophiques. Dans cette œuvre, Montesquieu a utilisé son savoir pour rapporter sur son temps un témoignage lucide.
● Dans ce livre, plusieurs personnages correspondent avec divers destinataires, ici, Rica s’adresse à Ibben, domicilié à Smyrne, pour lui donner ses premières impressions sur la vie à la française. A noter que si le genre épistolaire n’est pas nouveau au XVIII siècle, Montesquieu le renouvelle en faisant s’entrecroiser plusieurs voix narratives.
PROBLEMATIQUE.
Comment Montesquieu fait-il, à travers une lettre, une caricature empreinte de critique, de la politique et de la religion de France.
PLAN.
I- Les indices de l’épistolarité.
1°- L’émetteur et destinataire.
2°- L’écriture persane.
3°- Les fonctions de la lettre.
II- La critique du pouvoir.
1°- Une chronique politique.
2°- Un roi magicien.
3°- Un roi tyrannique.
III- La critique de la religion.
1°- Un pape magicien.
2°- Une religion despotique.
3°- Une religion intolérante.
« La critique de la noblesse », Lettre LXXIV, Lettres persanes, 1721, Charles-Louis de Secondat, baron de La Brède et de Montesquieu.
INTRODUCTION.
● Montesquieu (1689-1755), et né dans une famille de petite noblesse très engagée dans les procès. Orphelin en 1696, il est placé dans un collège d’Oratoriens dans le diocèse de Meaux et reçoit la meilleure éducation de son siècle. Dès son arrivée à Paris, en 1713, il rentre en contact avec les milieux littéraires. A 24 ans, à la mort de son père, il est avocat et gros propriétaire. Mais il ne s’est pas vraiment intéressé à la procédure, se livrant à son goût dominant, à savoir la vie intellectuelle et l’écriture.
En 1727, il est élu à l’Académie Française, et en 1730, il adhère à une loge maçonnique. Toute sa vie, il est resté un gentilhomme provincial, c’est-à-dire qu’il avait des rapports très simples avec ses paysans auxquels il distribuait son blé en temps de famine et dont il recueillait les enfants orphelins ou abandonnés.
Ses deux œuvres parues l’une en 1748, l’autre en 1721, De L’Esprit des lois et les Lettres persanes dont est extrait ce passage, le situent bien dans son siècle.
● Les Lettres persanes a connu un vif
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