Yasmina Reza, Le Dieu du carnage

Yasmina Reza, femme de lettres contemporaine, s’est illustrée dans divers genres littéraires, notamment des romans, des scénarii ainsi que des pièces de théâtre. Le Dieu du carnage a été un succès critique et scolaire puisque cette œuvre théâtrale bénéficie de plusieurs éditions adaptées aux élèves.

Cette pièce met en scène un affrontement entre les familles Houllié et Reille qui se sont rencontrées pour régler un différend entre leurs enfants. Au début l’ambiance est à l’apaisement les parents de l’accusé sont désolés et essaient de justifier l’acte de leur fils mais rapidement la situation s’envenime et fini par se transformé en embrouille entre les parents.

-J’ai beaucoup apprécié cette œuvre, tout d’abord par la dimension comique du conflit. Dans le livre le comique est exprimé de plusieurs manière, on peut observer 2 types de comique.

Pour commencer le comique de geste est souvent exprimé dans les didascalies comme on peut le voir lorsqu’Annette vomi : « Annette vomit violemment. Une gerbe brutale et catastrophique qu’Alain reçoit pour partie » .

Le comique de mot est également présent pour ridiculiser les personnages, en effet Yasmina Reza leur fait emploie des expressions techniques qui s’apparente a du charabia tel que : « l’Antril, antihypertenseur des laboratoires Verenz-Pharma » . Le fait que le conflit soit abordé de manière comique ma beaucoup plu car cela permet au lecteur de prendre du plaisir et de se divertir durant la lecture tout en prenant en compte de l’embrouille entre les parents et donc d’en avoir une approche différente.

-Le deuxième point que j’ai aimé dans cette œuvre et son effet captivant. Il y a différent point qui rende cette pièce captivante, tout d’abord le fait que la pièce soit brève permet que les péripéties soit concentré en peu de page et donc qu’il y est rebondissement sur rebondissement. Cela permet de garder le lecteur en haleine tout au long du récit.

Ensuite, l’histoire est peu commune, c’est-à-dire que nous ne sommes pas habitués a assisté a une telle querelle entre adulte appuyer en plus par le comique du récit cela crée au livre un atmosphère unique et donne envie au lecteur de le découvrir.

Pour terminer, il y a aussi un personnage qui ma plu c’est Alain rouillé, il est avocat et traite des affaires importantes. C’est un personnage assez comique on peut le voir car sa femme l’appelle toutou et cela ne semble pas le déranger. Dans la pièce il parait peu intéressé par le conflit mais défend néanmoins son fils quoi que dise les parents de la victime. C’est un personnage plutôt audacieux. Ce que j’ai aimé chez lui est son avis par rapport au conflit, il ne cherche pas a dramatisé la situation, il défend son fils même s’il est en tort ce qui montre son amour pour lui sachant que dans la pièce on apprend qu’il est peu présent dans la vie de famille. C’est un personnage qui m’a plutôt amusé au long du récit car il ne prend rien au sérieux, même lorsque la discutions était sérieuse, celui-ci préféré répondre a son téléphone sans se préoccuper si quelqu’un lui parler ou non. Pour finir c’est un personnage qui illustre le titre de la pièce car le dieu du carnage signifie la loi du plus fort et celui-ci y croit très fortement, pour lui la violence des hommes permet de les forgés et cela est normal, il faut savoir se défendre.

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