Une Illusion spirituelle et diplomatique

Une Illusion spirituelle et diplomatique

Une question traverse le roman, quel est l’illusion que nous pouvons imaginer pour fuir une réalité ? R.B pense que les humains sont les conteurs de nos vies.

L’illusion que propose Daesh donne un sentiment d’affiliation et d’adhésion pour l’auteur ces paroles sont fortes, car tout cela reste une illusion remplie de mensonge.

R.B propose plusieurs types de rêves, l’harmonie de la communauté musulmane, l’honneur à propos de la méchanceté et l’innocence avec contagion qui nous sépare. Par manque de sens à la vie, on tente de céder un sens a notre mort.

Un conflit d’histoire

R.B pense qu’on vit un conflit d’histoire. La lutte à mener est celle des fictifs. Pour survivre à des horreurs on s’accroche à des pensées, des mots et des récits, on crée une nouvelle réalité. Les souffrances et les épreuves que nous vivons ne nous définisse pas, mais ça nous permet de s’approcher au monde artistique.

Grace aux vécus des enfants vidimes de guerre et de l’extrémisme des parents, nous retrouvons l’espoir d’adhésion et de liaison. L’auteur dit que l’imaginaire et la création doit l’emporter face à l’égoïsme et qu’il faut admettre les erreurs de la société ; la littérature peut changer les modes et parer la séparation. D’après R.B le récit est une porte qui mène vers un monde avec des possibilités illimitées.

La solidité des paroles

R.B nous incite à ne pas sombrer dans un conflit du souvenir. Il est préférable d’user de la puissance des mots pour recréer la routine. « Ce qui est primordial dans un récit est les portes qu’il ouvre sans jamais savoir ce qui nous attends ». Le message du roman nous invite à toujours se questionner.

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