François de la Rochefoucauld

François VI, duc de la Rochefoucauld,est un écrivain, moraliste, mémorialiste et militaire français du XVII siècle. Il fait partie du mouvement littéraire du classicisme. Il est surtout connu pour ses Maximes il écrit un ouvrage « Réflexions diverses, » en 1664-5, qui a eu une grande influence dans les domaines de la littérature, de la philosophie et de la psychologie, il dénonce dans cette extrait les vices des humains à travers le comportement de divers animaux,

Comment l’auteur fait t il une hiérarchie des comportements de l’homme à travers l’animal ?

Nous remarquons que La Rochefoucauld parle de diverse catégorie de comportements et d’animaux, nous nous focaliserons en premier temps sur les animaux inoffensifs puis sur les animaux dangereux qui menacent les autres et finalement nous verrons comment il dénonce les hommes.

Pour commencer, dans sa description diverse des comportements, il construit sur l’anaphore « combien y’a t il » et « il y a » pour en faire des catégories bien définies.En effet, nous remarquons une différence de comportements que Larochefoucauld dénonce. Il dénonce l’inutilité de certains comportements venant d’animaux inoffensifs c’est à dire qui ne représentent pas une menace pour autrui mais qui ne contribue pas à la société.Ce sont ceux qui sont inconscients tel que la cigale, qui ne fait rien d’intéressant ni d’innovant, à s'amuser sans penser au lendemain «de cigales qui passent leurs vie à chanter » ici nous avons un verbe d’état qui montre la passivité de la cigale . Mais aussi qui ne réfléchissent pas, qui foncent droits dans leur déchéance, tel que le papillon «de papillons, qui cherchent le feu qui les brûle » . Dans cette même catégorie nous retrouvons les animaux lâches. En effet ce sont eux qui préfèrent le déni, et qui pensent que tout va pour le mieux comme le lapin « de lapins qui s’épouvantent et qui se rassurent en un moment »(parallélisme) ou encore le lièvre qui « a peur de tout » hyperbole ‘tout’ qui montre qu’ils sont le contraire de courageux.Tout ces animaux ont pour même défauts de ne servir à rien, ils ne contribuent en aucun cas à la société et restent dans l’inconscience et le déni au lieux de se confronter à la réalité.

Mais parmi les animaux inoffensifs il y a ceux qui travaillent, soit pour un objectif personnel soit pour servir quelqu'un d’autre.

De plus, parmi les animaux inoffensifs certains sont au contraire utiles, ils servent une cause, mais ils sont exploités pour leur manque de réflexion. Ceci les mène à une incapacités à suivre des ordres, comme les bœufs, qui ne remettent pas en question leurs activités ou leurs choix, ils « travaillent toute leur vie »hyperbole et « pour enrichir celui qui leur impose le joug » ici nous pouvons noter l’antithèse qui montre le paradoxe du destin des bœufs. Ils sont dans l’illusion que leur actes leurs servent alors que finalement ils finissent perdants, de même pour les chevaux « qu’on emploie à tant d’usages, et qu’on abandonne quand ils ne servent plus » le verbe « employer » montre qu’il sert uniquement d’outils, Larouchefoucauld l’identifie ici seulement par son utilité pour les autres. Les chevaux et les bœufs ne savent pas déterminer quels sont leurs objectifs. Mais ils sont aussi

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