Corpus sur le repas
Dissertation : Corpus sur le repas. Recherche parmi 302 000+ dissertationsPar Osiris267 • 11 Avril 2025 • Dissertation • 457 Mots (2 Pages) • 27 Vues
Corpus
Question 1
Montrer l’importance de partager son repas en bonne compagnie
L23 « Manger seul est malsain... »
Le moment du repas est fait pour se retrouver
Manger est un moment qui se partage
L3 « Tous ceux qu’il aimait étaient là, chez lui, sur son trabucco. »
Bonne compagnie pour Kant (repas social)
Bonne compagnie pour Gaude (repas conviviale, familiale)
Tout d’abord, partager son repas en bonne compagnie peut signifier être entourer de personne dans la présence est agréable et stimulante. Être en bonne compagnie désigne un environnement social ou l’on se sent à l’aise et épanouie. Selon Kant un repas en bonne compagnie, c’est un repas avec des enjeux sociaux, avec un but :
« ...tirer profit mutuellement de leurs présences ». D’après Kant, il y a un nombre de convives à respecter, les conversations doivent rester fluide et collective. Le repas est comme un art et les conviés autour de la table doivent être des artistes. Dès le début de l’extrait du document 1 ; « Le bien-vivre qui, en définitive, semble s’accorder le mieux avec une telle humanité, c’est un bon repas pris en bonne compagnie... » (KANT, ligne 1). Kant s 'exprime également sur le fait de manger seul : « Manger seul est malsain... » (ligne 23), car partager un repas en bonne compagnie est un bon moyen pour renforcer les liens sociaux.
Ensuite, dans le document 3, Laurent Gaude définit la bonne compagnie comme un rassemblement de proches dans lequel chacun est libre mais personne n’est à délaissé. Ça peut également se définir comme un repas familial et conviviable : (ligne 7) « Car pour tous, adultes comme enfants, ce fut la première fois qu’ils mangeaient ainsi. ».
En définitive, KANT
Question 2
Le document 2 et le document 3 nous parle d’abondance lors de repas de fête. L’abondance désigne une grande quantité de quelque chose. En effet dans le 2ème document, Gustave Flaubert, nous décrit dès le début de son roman « Madame Bovary », un festin en décrivant une table très fournie en nourriture. La tablée présentée comme une œuvre d’art tel que la pièce montée (L12 à L21), nous montre l’extravagance de la nourriture, toujours plus grande pour satisfaire les convives au point de leur en faire pousser des cris (L12). De la même manière, Laurent Gaude, dans le 3ème document décrit un repas tout aussi festoyant. Les quantités sont toutes aussi exagérées.
Ces 2 documents nous montrent que lors de repas de fête, la profusion de nourriture allait souvent de pair avec le nombre d’invités, on ne fait pas un repas si abondant pour peu de personnes. Dans ce genre de repas, même rassasié les invités continuent de se sustenter en suivant le rythme des cuisiniers qui continuent de faire défilés les plats.
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