La place de l'élève au sein du système scolaire
Dissertation : La place de l'élève au sein du système scolaire. Recherche parmi 301 000+ dissertationsPar ninouchephilo • 21 Janvier 2025 • Dissertation • 1 323 Mots (6 Pages) • 10 Vues
Texte 1 : La place de l’élève au sein du système scolaire :
Ce passage du livre L’enfant de Jules Vallès,, nous montre une vision très critique de l’école et du système éducatif de son époque. L’auteur décrit l’école comme un lieu abandonné abandonné, sale et vide, nous pouvons dire que c’est une école négligé où les élèves sont surveillés et privés de liberté. Les pupitres sont vides, il n'y a que des objets inutiles et dégradés, comme des plumes rouillées ou un cadavre de lézard. On ressent une impression de solitude et d’isolement: les murs sont sales, les pupitres vides, et tout semble abandonné, comme si personne ne se souciait vraiment des élèves qui va aux contraires de l’étique de l’école d’aujourd’hui qui donne une image idéal et d’un lieu d’apprentissage et de vie sociale. L’école est comparée à une prison : le narrateur est enfermé dans une salle d’étude et se sent isolé, seul face à une vieille carte et un tableau noir.
Pourtant, il trouve un livre, Robinson Crusoé, qui devient pour lui une évasion, l'enfant se plonge dans la lecture de Robinson Crusoé, cherchant à échapper à la réalité en s'identifiant à ce personnage solitaire. Cela montre que, même dans ce lieu car l’imagination et la lecture de l’enfant lui offre une liberté. Le narrateur s’identifie à Robinson, ressentant sa solitude et ses difficultés mais aussi son envie de survivre et de rêver. L'évasion dans le livre, où il se sent "dévoré par la curiosité" et "remué jusqu'au fond du cœur", montre à quel point l'école et son environnement l'isolent et le rendent malheureux. Le narrateur ressent la faim, la soif, et son corps souffre, ce qui souligne le stress ou les crises d’angoisses du cadre scolaire.
L’auteur veut dire que l’école devrait donner plus envie d’apprendre et laisser les élèves découvrir des choses qui les intéressent. Au lieu d’être un endroit sérieux et triste, elle pourrait devenir un lieu où on a plaisir à apprendre et à rêver. L’école est ici considérer comme une prison, un espace étouffant qui font stresser les élèves plutôt que les éduquer. Ce passage critique donc l’école en la caricaturant de lieu oppressant, où les élèves sont négligés et laissés dans un état second. Vallès montre une vision de son école à l’époque comme un lieu de crainte au lieu d’épanouissement.
Correction : Il s’identifie et se réfère à son imagination au livre et confusion entre ses deux mondes, perte des repères et s’agit d’une épreuve physique « cou brisé, poitrine creuse, sans entendre rien, nuque qui me fait mal, restés penché sur les chapitres sans lever la tête » douloureux pour lui, identification entre le sujet et le personnage du livre il vit à travers lui ses aventures et permet de quitter ce lieu hostile, lieu d’enfermement, « dévoré par la curiosité, collé aux flancs de robinson, sans entrendre rien , émotion immense, remué jusqu’au fond de la cervelle et du coeur » « je vois se profiler, je peuple l’espace vide, je rêve éternelle solitude, je me demande ou je ferai pousser du pain, la faim me vient, réduit à manger des rats » il va faire l’intérêt de ce texte idée nouvelle et perturbante, l’école = lieu d’autorité, inflige à l’élève strict et sévère « enfermement » paradoxe mis en avant,. On devrait être dans un monde de savoir mais il en ai rien c’est un monde de contrainte et la punition n’est pas utile anéantit le système de l’autorité.
Texte 2 : Balzac, louis Lambert, 1832 extrait page 27 du manuel
Dans cet extrait, Balzac critique « la sévérité excessive du système éducatif » de son époque, qu’il compare presque à une prison. Il dénonce les punitions répétées, comme le pensum, qui privent les élèves de leurs moments de liberté et les empêchent de s’épanouir. Ces punitions non utiles, rendent la vie des élèves difficile et les épuisent mentalement.
Balzac montre que l’école ne valorise pas les élèves intelligents comme Lambert ou le narrateur. Au lieu de les encourager, le système les sanctionne pour des raisons absurdes. Par exemple, leur excellente mémoire leur permet d’apprendre rapidement en écoutant les autres, mais si le maître les interroge en premier, ils risquent de ne pas connaître la leçon et sont punis malgré tout.
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