J'ai soif d'innocence

La nouvelle nous raconte l'histoire d'un narrateur qui décida de quitter la civilisation et ses fausses valeurs pour trouver "l'innocence" Il décida donc de prendre les quelques affaires personnelles dont il s'occupait et arriva à Tahiti au début de l'été.

Il fut malheureusement déçu par Papeete et sa civilisation trop intéressé par l'argent.

Il partit donc en direction d'une petite île perdue des marquises "Taratora" choisi au hasard sur la carte.

Le narrateur apprécia tout de suite l'ambiance, l'île, et sa civilisation. Cette civilisation semblait indifférent au lucre qu'il arriva à s'installer dans la meilleure paillote du village et d'acquérir toutes les nécessités immédiates de l'existence ; pêcheur, jardinier, cuisinier, et tout cela sans bourse délier.

Parmis toute la population de l'ile se trouvait une personne nommé Taratonga, une femme âgée d'une cinquantaine d'année

Cette femme était la fille d'un chef dont l'autorité s'était étendue autrefois sur plus de vingt îles de l'achipel.

Taratonga était d'une gentillesse inouïe et se liait d'amitié avec tout le monde, dont le narrateur.

Elle lui appris toutes les "règles" de l'île ainsi que son fonctionnement.

Puis Taratonga offrit des choses au narrateur, dont des gâteaux enveloppés d'un tissu semblant familier au narrateur. Celui ci reconnu les tissus, c'était des toiles de Gauguin.

Le narrateur submergés par ses émotions décida de s'en procurer le plus possible par le billet de Taratonga sans lui avouer les valeurs de ce qu'elle possédait.

Une fois toutes les œuvres présentes dans les mains du narrateur celui-ci se sentit obligé de retourner les vendres en France.

Il alla alors après son voyage dans un hôtel et discuta avec le patron, qui lui, connaissait bien Taratonga et lui expliqua ces différentes activités en Art

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