Introduction la bête humaine d'Emile Zola

Le besoin de tuer de l’homme sur la femme a déja été écrit par le passé nottament dans l’oeuvre Le Rouge et le Noir de Stendhal, paru en 1830, ou nous voyons comment Julien Sorel est pris d’une soudaine envie de tuer envers Madame de Rénal. Alors bien-sûr la violence est différente dans les œuvres car l’une est soudaine et temporaire alors que dans l’autre, la bête humaine, elle est présente tout au long du roman. Nous pouvons donc considérer cette œuvre comme étant une précurseur de la violence zolienne. L’extrait que nous allons étudier se situe à la fin du chapitre 11 du roman tragique intitulé La bête humaine d’Emile Zola et paru en 1890. Au sein de cette scène, Zola dépeind l’amour de Séverine ainsi que le meurtre de celle ci par Jacques. Avant cela, nous pouvons lire que Jacques et Séverine sont sur le point de tuer Roubaud et l'attende d’un pied ferme, puis Jacques commet l’irréparable et par la suite il s’enfuit pris de remords et de culpabilité et Cabuche découvre le corps de Séverine. Cet extrait représente l’apogée du récit entre le fatalisme de la situation de Jacques qui ne peut donc jamais fuir son destin et la mort de Séverine, de l’innocence, qui ne peut point sauver Jacques de son dessein.

Alors, en quoi le récit du meurtre de Séverine par Jacques reflète-t’il le determinisme et le fatalisme de l’homme pour Zola. D’abord nous verrons cela grace à la structure de l’extrait puis par les différents sentiments que l’on retrouve et enfin le meurtre même.

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