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Fiche de lecture Le Barbier de Séville, Beaumarchais

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Par   •  27 Mars 2023  •  Fiche de lecture  •  2 423 Mots (10 Pages)  •  358 Vues

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Fiche de lecture : Le barbier de Séville, Beaumarchais

Titre : Le barbier de Séville ou la Précaution Inutile

Le Barbier de Séville est en réalité Figaro, le valet du comte Almaviva, un personnage important de l’histoire. Il s’est établi en tant que barbier à Séville et a pour principal client le docteur Bartholo. C’est majoritairement sur lui que se repose l’intrigue.

La précaution inutile clos l’histoire. Bartholo a fait retirer l’échelle permettant de grimper à la jalousie pensant que cela empêcherait le mariage. Que nenni, cela était inutile et a permis au comte d’épouser Rosine. C’est la dernière phrase, et le dernier comique, de cette pièce.

L’auteur : Beaumarchais, de son nom de naissance, Pierre-Augustin Caron, est né à Paris le 24 janvier 1732. C’était un écrivain, dramaturge, musicien et homme d’affaire français, il fait partie du mouvement des Lumières. Il rencontre le roi Louis XV en devenant son horloger. Il ajoute « De Beaumarchais » à son nom en 1756. Il fut le professeur de harpe des filles du roi. Il commence à écrire en 1757. Le roi l’anoblit en 1759. Il se mariera trois fois comme il essuiera 3 échecs à la Comédie Française avec Eugénie, Les Deux Amis et le Barbier de Séville première version. Puis il triomphe finalement en remaniant Le barbier de Séville. Il devient agent secret du roi en 1774. En 1777 il fonde la Société des auteurs dramatiques pour défendre le droit des écrivains. Il continue sur des succès avec la suite du Barbier de Séville. 0la suite d’une affaire de fusils rentrés en France, il sera exilé en 1796 et mourra le 18 mai 1799 à Paris.

Genre : Théâtre, comédie

Résumé : Acte I : Il se déroule dans une rue de Séville

Le comte Almaviva attend que Rosine, dont il est tombé amoureux à Madrid et qu’il a suivie à Séville, paraisse à sa fenêtre.

Figaro apparaît en chantant. Il retrouve le comte, lui expose son parcours de garçon apothicaire, d’homme de lettres puis de barbier, tandis que le comte explique vouloir se faire passer pour Lindor, un étudiant.

Rosine et Bartholo paraissent à la jalousie. Rosine prétend avoir fait tomber sa chanson par mégarde. Le docteur Bartholo descend la ramasser, mais le comte s’est emparé avant lui du papier, en réalité une lettre. Rosine, restée au balcon, déplore le sort que lui inflige Bartholo.

Dans sa lettre, Rosine demande au comte de chanter sous sa fenêtre pour dévoiler son identité. Ce dernier apprend qu’elle n’est pas encore mariée à Bartholo et que Figaro, le locataire du docteur, peut l’aider. Le valet conseille au comte de se déguiser en cavalier ivre et de se faire héberger en tant que soldat chez Bartholo.

Bartholo se reproche d’être descendu et s’interroge sur ce que fait Bazile, qui doit arranger son mariage avec Rosine pour le lendemain.

En chantant sous la fenêtre de Rosine, le comte muni de la guitare de Figaro, se présente comme Lindor, jeune homme du peuple et sans fortune. Rosine a à peine le temps de lui répondre qu’elle est rappelée à l’intérieur. Le comte et Figaro s’engagent à faire échouer le mariage de Bartholo.

Acte II : il se déroule dans l’appartement de Rosine

Rosine écrit à Lindor en espérant compter sur le soutien de Figaro.

Figaro fait comprendre à Rosine qu’elle est aimée de Lindor. Elle lui remet la lettre qu’elle vient d’écrire. Alors que Bartholo approche, Figaro se cache dans le cabinet au clavecin.

Rosine entend Bartholo arriver et fait semblant de broder.

Bartholo et Rosine se disputent au sujet de Figaro, dont Bartholo a compris qu’il était entré dans l’appartement. Bartholo annonce que Figaro a administré des médicaments qui ont rendu malades ses valets, l’Eveillé et La Jeunesse.

Bartholo appelle ses valets en les injuriant.

L’Eveillé parait tout endormi, en baillant.

La Jeunesse (valet très âgé) arrive en éternuant. Il se heurte à l’autoritarisme de Bartholo et se plain de son sort.

Bazile vient avertir Bartholo de la présence en ville du comte Almaviva. Il propose de recourir à la calomnie pour l’écarter. Il réclame de l’argent pour finir d’organiser le mariage de Bartholo, puis s’en va, accompagné du docteur qui veut être sûr que la porte soit fermée.

Figaro se moque de la « précaution » que vient de prendre Bartholo et du discours de Bazile.

Figaro informe Rosine des intentions de son tuteur et s’enfuit par un petit escalier.

En observant les doigts tachés d’encre de Rosine, le nombre de feuille de son cahier et sa plume noircie, Bartholo comprend qu’elle a écrit une lettre. Il quitte la pièce en la menaçant.

Déguisé en cavalier et simulant l’ivresse, le comte entre en chantant et tente, en vain, de remettre une lettre à Rosine.

Le comte profite de sa prétendue ivresse pour se moquer de Bartholo.

Il ne parvient pas à se faire héberger, comme il l’avait prévu, car Bartholo est muni d’un brevet d’exemption, document qui le dispense d’accueillir des soldats chez lui. Pendant qu’il s’absente un instant, le comte se présente à Rosine. Lorsque Bartholo revient, le comte arrive, non sans difficultés, à donner sa lettre à Rosine.

Perspicace, Bartholo exige de Rosine qu’elle lui donne la lettre qu’elle vient de recevoir. Elle s’oppose à lui et prétend qu’il s’agit de la lettre de son cousin. Pendant que Bartholo va fermer la porte, Rosine échange la lettre du comte avec l’autre, puis simule un malaise. Bartholo en profite pour lire la missive, et s’aperçoit qu’il s’agit de la lettre du cousin de Rosine, avant de la remettre discrètement en place. La situation s’inverse : Bartholo feint de ne plus vouloir lire la missive tandis que Rosine insiste pour qu’il le fasse.

Seule, Rosine lit la lettre dans laquelle le comte, qu’elle prend pour Lindor, lui demande de faire durer une dispute avec Bartholo. Elle craint d’avoir laissé paraître son trouble devant son tuteur.

Acte III : il se déroule dans l’appartement de Rosine

Bartholo se demande pourquoi Rosine ne veut pas prendre sa leçon de musique avec Bazile.

Sous le nom d’Alenzo, le comte déguisé en bachelier prétend venir remplacer Bazile, malade. Il parvient à gagner la confiance de Bartholo en lui remettant la lettre que Rosine lui a adressé à l’acte II, mais en faisant croire qu’elle était adressée au fameux comte Almaviva. Il fait semblant de s’allier au docteur pour calomnier Almaviva auprès de Rosine.

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