Denis Diderot, Jacques le Fataliste et son maître ( 1796)
Analyse sectorielle : Denis Diderot, Jacques le Fataliste et son maître ( 1796). Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar tg_tg • 28 Juin 2023 • Analyse sectorielle • 837 Mots (4 Pages) • 226 Vues
Denis Diderot, Jacques le Fataliste et son maître ( 1796)
Jacques le Fataliste et son maître est un roman insolite pour son époque la narration s’organise autour du voyage d’un maître et de son valet. La narration est une longue conversation dans laquelle des récits s’imbriquent. Un des récit attendu est celui « des amours de Jacques » dans l’incipit.
- Quel est la relation entre le narrateur et le lecteur ?
- Réfléchissez aux thèmes des différentes question qui constituent l’extrait
- Réfléchissez au genre de l’extrait
- Réfléchissez à la manière dont l’auteur peut nous décevoir
- Qu’est-ce qui nous semble remit en cause dans l’extrait
Incipit
comment l’incipit bouscule le lecteur, le déstabilise, déçoit ses attentes ?
Le récit de l’abbé prévôt s’ouvre sur des questions rhétoriqueur réponse par soit une affirmation soit par des questions. Le ton est celui de la désinvolture , la désinvolture d’un narrateur pour ridiculiser ses attentes.
« que vous importe » « ils »
jeux de dérision sur les attentes du lecteur attente qui sont liées aux poncifs romanesques, identité des persos ou allaient-ils but a cette promenade ?
Ce début va jouer sur deux plans distinct le réel de celui qui est entrain de lire et de l’autre la fiction
on vous répond dans le réel au lieu du fictionnelle. Les attentes du lecteur sont moqués elles apparaissent comme dérisoire absurde même. Finalement la seul réponse précise concerne la parole
répétition maladroite mais voulu du verbe dire on a donc un discours indirecte doublé. La réponse que l’on reçoit met l’accent sur l’essentielle sur ce qui va suivre un texte dialogué. Récit introducteur qui fait partit
indication sur le titre jacques le fataliste et son maître « tout ce qui nous arrive de bien et de mal ici bas... » le fatalisme on ne peut lutter contre rien. Antithèse insiste sur le fait que ce ne sera pas de la grande philosophie
le maître répond a du récit au lieu de s’inscrire dans un dialogue nouveau jeu sur les frontières entre le récit et le dialogue
le maître aussi dévalorise la pseudo philosophies de Jacques, la philosophie de Jacques s’inscrit dans un grand pragmatisme « avait son destinataire » volonté de tourner en dérision la philosophie
le maître va aller dans la philosophie de Jacques
il avait raison le silence ménager par les point de suspension semble suggérer un échec du dialogue mais Jacques le relance changement du ton la relance de J est en changement de ton et de rythme effet de coq a l’âne une rupture dans la cohérence des propose, nouveau sujet sans transition, c’est déstabilisant, aucun rapport avec ce qui suit « le cabaretier et son cabaret »
« après une courte pause » fait penser au dialogue de théâtre
ne maître ne réagit pas avec la remarque gratuit sans rapport, mais réagit seulement à le jurons qu’a dit Jacques, c’est-à-dire « que le diable », il ne continue pas le dialogue, ne nous aide pas a comprendre cette conversation.
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