Compte rendu sur le roman «Un secret » de Philippe Grimbert
Synthèse : Compte rendu sur le roman «Un secret » de Philippe Grimbert. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar marjoriesdb1 • 3 Mai 2023 • Synthèse • 350 Mots (2 Pages) • 431 Vues
Compte rendu sur le roman «Un secret » de Philippe Grimbert
1 Ce cimetière appartient à la fille de Laval, celui qui a donné l’ordre d’exporter les juifs. La fille du narrateur est choquée par le fait qu’il y ai eu des tombes pour les chiens et pas pour les juifs morts à cette époque.
2 Il a l’impression d’être la honte de ses parents, il st maigre, maladif,… l’ambiance est très pesante.
3 A 15 ans, le narrateur apprend par Louise, sa voisine infirmière très proche et fusionnel , les secrets de famille. Suite à une bagarre en classe en visionnant un reportage sur les juifs, Louise pense que c’est le bon moment pour dire la vérité.
4 Simon était son demi-frère, fils de Maxime et de Tania. Il était tout le contraire du narrateur, il était fort, beau, musclé, fin, sportif, séducteur, il était très fort en gymnastique et il était la fierté de ses parents ( Maxime et Hannah ).
5 Elle s’est « suicidée » en se dénonçant à la venue de la police dans le bar. Elle entraîne son fils, Simon car elle ne pouvait pas supporter que Maxime aimait désormais Tania. Elle a donc malheureusement priver Simon de sa vie, pour faire regretter et priver Maxime de son fils.
6 Le narrateur pense qu’ils se sont rencontrés au gymnase alors qu’en réalité, ils se sont rencontrés au mariage de Maxime avec Hannah. Il a eu un coup de foudre pour Tania, sa belle-sœur.
7 Le roman se passe en 2 périodes, celle de Simon pendant la seconde guerre mondiale, la déportation des juifs, les étoiles jaunes juives et celle du narrateur pendant l’après – guerre.
8 Les parents du narrateur ( Maxime et Tania ) meurent en sautant ensemble du balcon. Quelques temps avant, Tania avait fait un AVC qui lui handicapait la vie et lui empêchait de faire son activité sportive ainsi que celle de Maxime. Ils ont fait ce geste par amour.
9 Cette phrase montre que le narrateur s’était inventé un frère et que finalement cette imagination était une réalité.
10 C’est un roman autobiographique.
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