Interview de Mussolini

Bonjour Mr Mussolini, Merci d'avoir accepté de répondre à nos questions pour le Journal Il Popolo d'Italia.

Bonjour, c'est avec plaisir que je suis ici.

Mr Mussolini, vous êtes à présent à la tête de notre beau pays, pourriez-vous nous expliqué comment tout cela à commencé ?

Oui, sans problème! Ce fut un combat sans répis, mais nous sommes parvenus à la fin ! Tout à commencé avec les faisceaux; après la première guerre Mondiale, le peuple était extrêmement mécontent. Alors, avec d'anciens soldats, nous avons monté les faisceaux en 1919. À partir de l'été 1920, il a mis ses troupes paramilitaires au service de la contre-révolution. Nous étions comme des garants de l'ordre face aux menaces révolutionnaires.

C'est en Août 1922 que nous avons démontré de notre force en août 1922 en brisant une grève générale lancée par le parti socialiste et dirigée contre nous. Alors, le Roi Victor Emmanuel III m'a nommé le chef; le DUCE, pour sauver l'Italie ! A partir de ce moment, j'ai eu les pleins pouvoirs...

Pouvez-vous maintenant nous expliquer le PNF ?

Le PNF ? ma oui ! C'est le Parti National Fasciste! Alors en 1925, nous avons créés les lois fascistissimes;  

-le Parti national fasciste (PNF) est l'unique parti admis ;

-toutes les associations de citoyens sont soumises au contrôle de la police ;

-les seuls syndicats reconnus sont ceux fascistes, qui interdisent notamment les grèves et les réunions ;

-toute la presse est soumise à la censure.

-Le confino (assignation à résidence, relégation) pour les anti-fascistes ;

Nous avons aussi créé une armée de miliciens pour défendre le pays. Il existe d'ailleurs les 10 commandements du milicien fasciste: [...]

Merci Mr Mussolini. Pour finir, pourriez-vous nous expliquer le sens de ce symbole ?

Vous voulez dire les faisceaux de licteurs ? Les faisceaux sont constitués par l'assemblage de branches longues et fines liées autour d'une hache par des lanières.Dans la Rome antique, ces faisceaux étaient portés par des licteurs, officiers au service des Magistrats et dont ils exécutaient les sentences.

 « Tout par l’État, rien hors de l’État, rien contre l’État ! ».

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