Histoire: policies politiques dans les régimes totalitaires
Cours : Histoire: policies politiques dans les régimes totalitaires. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar LordZawk • 4 Avril 2017 • Cours • 1 155 Mots (5 Pages) • 1 051 Vues
Louis, Matthew
Pires, Da Silva Histoire: Polices politiques dans les régime
totalitaires
Durant la deuxième guerre mondiale beaucoup de choses furent révélées au grand public et n'étaient pas un mystère pour le front et pour l'arrière. Cependant des polices secrètes naissaient dans les pays possédant des régime totalitaires. La police est une administration chargée de veiller à l'observation des forces du maintiens de l'ordre[1]. Le régime totalitaire a pour but d'institutionnaliser globalement sa domination, en transformant radicalement l'ordre politique, culturel et économique existant en fonction d'une idéologie homogène et unifiée autour de quelques principes[2]. Durant cette période de régime totalitaire on trouvait des services secrets, plus précisément des polices secrètes qui assuraient l'ordre de manière très rigoureuse. La question que nous pouvons nous poser est la suivante : Comment ces polices secrètes fonctionnaient elles ? Quels étaient leurs rôles ?
Voir les différents services secrets est primordial pour comprendre leurs fonctionnement ainsi que leurs rôles.
Durant l’occupation Allemande, la France libre possédait elle aussi son service secret. Ne prenant pas place au sein d'un régime totalitaire il est quand même bon d’évoquer l’existence du BCRA[3], né le 1er juillet 1940 à Londres. Servant à assurer la liaison avec les habitants des territoires occupés et aussi à noués des contacts avec les groupes résistants de France.
La police de sûreté Sipo[4], qui se trouve en Allemagne, est chargée de la sécurité intérieure c’est-à-dire de la surveillance des ennemis du parti nazi comme les marxistes, les communistes et les juifs. Dans ce pays nous avons la GESTAPO[5], dirigé par Heinrich Müller[6].
En Italie, sous le régime de Mussolini, la police politique se prénomme OVRA[7] (L'oeuvre de vigilance et de répression de l'antifascisme). Cette police secrète a pour but de surveiller et de sanctionner la moindre opposition envers le parti et a recours aux pires violences pour obtenir des aveux.
En URSS, nous avons le Guépéou[8], dirigé par Iagoda[9], violant continuellement les droits de l'Homme en Russie. Un groupe qui est né de la Tché-ka et qui possède tout les droits pénaux et pouvant les utiliser à volonté sur n'importe qui, n'importe quand. C'est dans le décret du 6 février 1922 que la Tché-ka se transforme en Guépéou. Ce qui ne la fera pas vraiment changer au niveau de la terreur émise. Elle joua aussi un rôle à l'étranger.
La Gestapo qui a débuté ses opérations en 1933, jouait aussi un rôle mais plus petit. Elle n'occupait pas une grande place dans la population mais avait beaucoup de droits. Elle pouvait emprisonner ou interner en camp de concentration, sans limite de durée, sans chef d'accusation et sans procès. Elle pouvait et devait éliminer les opposants autant que possible. La Gestapo gérait les frontières comme elle le souhaitait[10]. Elle restera toujours la plus connue pour la déportation des juifs dans les camps de concentration. Ce qui causera la mort de plusieurs millions de juifs pendant la guerre. Elle se trouvera dans plein de territoire différent en exerçant toujours la même pression.
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