La monarchie universelle, l'Europe

Un moine Allemand , Engelbert d' Admont, va s'intéresser à la monarchie universelle entre 1307 et 1310 . pour cet auteur Allemand, nécessite en Occident d'un seul empire , une seule tête. Seul moyen selon lui de maintenir la paix entre les divers membres de l'empire.

Dans cette conception cet empereur est considéré comme une sorte d'arbitre suprême pour les différents royaumes , lesquels royaumes qui pourrait conserver leur coutumes , leur traditions et leur Roi.

Présentation très avant-gardiste que pourrait représenter un pouvoir supra-nationale, l'empereur se situerait au dessus des roi , et interviendrait pour régler les différents entre les différents rois.

Italien qui s appel, Dante ALIGHIERI présente sa monarchie universelle entre 1310 et 1313 , il est favorable au pape et parle de paie universelle rendue possible selon lui, grâce à l'existence d'un prince ( le premier des citoyens de l'Occident , qui se situerait au dessus des autre, et serait le monarque du monde) ce prince dans son esprit est le chef de l'autorité spirituelle.

Français qui va lui aussi envisager une monarchie européenne , Pierre DUBOIS, vers 1308 il évoque l'idée d un arbitrage internationale qui est utile pour le maintient de la paie. Cet arbitrage ne peut être ni le fait du Pape . Doit être confier aune assemblée qu il appel un consil à la fois laïque et ecclésiastique issu de chaque nation. Ces idées de monarchie vont persister assez longtemps.

Projet développé par le roi de bohème George PODIEBRAD, aurait élaboré son projet grâce à un aventurier français qui lui aurait rapporté plusieurs souvenirs et eu cette idée de construire quelque chose de politiquement plus grand. 1464

Dans sa proposition il propose l'élaboration d'une congrégation pour la paie. Congrégartion concordiae : correspond a une assemblée de représentants des princes chrétiens associés pour la paie, congrégation qu'il appel ligue des princes, qui aurait pour mission de sanctionner par les armes la nation qui refuserait l'arbitrage en cas de conflit.

Pourtant aucun de ces auteurs n'utilise le terme « Europe », il parlent de paie universelle, de monarchie universelle, de congrégations. Constat qui peuvent être expliqué parce que les textes médiévaux méconnaît le terme Europe . Terme réservé au géographes, qui sont peut nombreux.

A cette période on a pas encore prit conscience de la possibilité d une Europe politique. Il n y a pas a cette période de conscience européenne ;

Face a ces rêves de réunion, on assiste au développement d'un mouvement très fort qui est la monté en puissance des États.

Section II : La monté en puissance des États.

Seigneuries deviennent autonomes . Prérogative à la base régalienne mais usurpé au roi. Pour qu'un État existe certaines conditions doivent être remplis : les ensembles territoriaux doivent passer de la suzeraineté (élément qui caractérise l'époque féodale car le roi devient suzerain lui aussi a des vassaux) à la souveraineté.

La souveraineté caractérise un pouvoir qui se centralise , elle est détenue par un individus capable d'exercer la justice sur tous son territoire ,capable de légiféré sur son territoire ; Cette souveraineté est essentielle car permet au titulaire de s'imposer au différentes communautés d'un royaume. Le pouvoir central doit être capable de mettre en place une armée permanente, c'est un pouvoir qui doit être secondé par une véritable administration, administration centrale et locale.

La France est devenue un État à partir du 13ème s , essentiellement du règne de Philipe Auguste. Après lui St Louis et Philipe le Bel continu la reconstruction de souveraineté, période des temps moderne dans le moyen-age. La France devient la plus forte en Europe.

L' Angleterre va également devenir une puissance à part entière. L’ Espagne y parvient également, seul l'Allemagne et l'Italie devienne des territoires morcelés jusqu'au 18ème s.

On assiste à la constitution plus ou moins aboutis de ces États , première étape à la géographie européenne. Cette idée des États est absolument contraire à l'idée d'union universelle, contraire à la république chrétienne de Charlemagne. Donc à l'idée européenne . Constat est évident si on se réfère à un ouvrage, Italien Marcil de PADOUE « defencor paquis », dans cette ouvrage il défend l'indépendance des États et souligne la nécessité pour les États d'être rivaux , en opposition pour que la guerre puisse venir corriger les excédents démographique .

L'idée européenne est donc mise de coté et il faut attendre la fin du 15ème s qu'une évolution face jour, on va de la chrétienté vers l'Europe. Population qui ne sont plus réunis dans cette fois commune

Chapitre III : De la chrétienté à l'Europe.

La troisième renaissance apparaît après la renaissance Carolingienne et celle du 12ème siècle , va amener les hommes à penser différemment , répercussion plus importante, plus grande liberté. Critique qui engendrera la dislocation de l'unité chrétienne Occidentale. Apparaît à travers le mouvement de la REFORME. Le nom que l'on donne au mouvement de renouveaux évangélique qui apparaît dans le christianisme au 16ème s. Donne naissance à des églises séparées tel que le protestantisme , l'anglicanisme. Cette réforme est considéré comme une très importante révolution religieuse, elle répond au problème religieux des chrétiens qui ont été déçus par le fonctionnement . Son succès se justifie par la réflexion. Sensibilité religieuse très importante à cette période. Époque hanté par le problème de la mort, philosophie.

Les humanistes vont dénoncer les abus des ecclésiastiques et le train de vie scandaleux de certains grand évêques. Par ailleurs ces hommes d'église sont attirer par les biens matériels et détourne le spiritualisme. Il n'hésite pas a vendre les biens d'église , simonie. Si la réforme a connue un vif succès elle le doit au développement de l'imprimerie , il a imprimé la bible diffusé à plusieurs exemplaires. Ce qui va permettre de faire connaître les vraie dogmes de la religion et les écrits formateurs vont se multiplier et être publiés.

Cette Réforme est partie d' Allemagne avec Luther et va atteindre plus ou moins profondement tous les pays d'Europe sauf l'Italie et l'Espagne qui sont

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