Christophe Colomb (1450-1506)
Étude de cas : Christophe Colomb (1450-1506). Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar faster35fr • 5 Mai 2015 • Étude de cas • 379 Mots (2 Pages) • 927 Vues
Introduction :
Christophe Colomb (1450-1506)
Marin Génois au service des rois catholique d’Espagne a réalisé au total 4voyages aux indes. Son but était de trouver une route pour ce rendre en Asie par l’ouest. En 1492 d’après ses calculs il pense devoir parcourir 4400 km avant de toucher terre. Une erreur monumentale, la distance est en fait 4 fois supérieure. Jusqu’au bout il pense avoir atteint l’inde, preuve de l’influence de ses lecteur malgré les informations sur place ce n’est que progressivement que l’idée de la découverte d’un 4ème continent « un nouveau monde ». L’Amérique prend forme, bouleversement considérable du savoir géographique.
Les premières rafles de Juifs en France commencent en 1940 en zone libre et en mai 19415 en zone occupée, les Juifs étant placés dans des camps d'internements français7. Début juin 1942, une planification est décidée : l'opération « Vent Printanier », ou « Vent de printemps »8, doit organiser une rafle pour les trois pays d’Europe occidentale occupée par l’Allemagne (France, Pays-Bas et Belgique), le RSHA devant déporter de France vers l'Est 110 000 Juifs en 19428 (Juifs valides pour le travail et devant avoir entre 16 et 50 ans) au lieu des 5 000 initialement prévus. L'opération « Vent printanier » prévoyait, à l'origine, l'arrestation de tous les Juifs d'Amsterdam, Bruxelles et Paris, le même jour8.
L'État français et les nazis négocient sur une base de 40 000 Juifs de la zone occupée dont 22 000 adultes de la région parisienne, avec un ratio de 40 % de Juifs français et 60 % de Juifs étrangers9. Le 16 juin 1942, René Bousquet, chef de la police de Vichy, propose au général Oberg de livrer 10 000 Juifs apatrides (Juifs autrichiens, polonais, tchèques qui n'ont plus de gouvernement) de la zone libre grâce à la police française10. Le 2 juillet 1942, René Bousquet assiste à une réunion de planification dans laquelle il ne formule aucune objection à l'arrestation des Juifs apatrides mais exprime son inquiétude devant le fait « gênant » que la police française soit chargée de l'exécution des plans dans la zone occupée. Bousquet obtient un compromis selon lequel la police raflerait uniquement les Juifs étrangers en échange d'un réarmemement de la police française. Vichy qui souhaite protéger les Juifs français ratifie cet accord le lendemain11.
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