Histoire de l'immigration d'entre-deux-guerres

Au XXème siècle, on retrouve en Europe une très forte vague d'immigration. Nous allons donc nous intéresser tout particulièrement au cas de la France et nous analyserons l'immigration et la société française au XXème siècle. Nous diviserons cette analyse en deux

parties. Tout d'abord nous parlerons de l'immigration d'entre-deux-guerres. Avec la France un pays d'immigration. Puis nous verrons que depuis 1973, l'immigration est un sujet de débat dans la société française. Afin de répondre au mieux a ces deux thèmes nous disposons d'une vidéo sur l'histoire de l'immigration en France. 

Tout d'abord, comme expliquer précédemment nous allons analyser l'immigration en France durant la période de l'entre-deux-guerres, et nous prouverons que la France est bel et bien un pays d'immigration. Durant cette période de l'entre-deux-guerres, l'histoire des migrations en France peut être divisé en deux parties. Avec de 1919 à 1929, un pays ouvert au flux migratoires. Puis de 1929 à 1939, un pays plus retissent en vers la venue de migrants dans leur pays. Donc pour revenir en 1919, après la guerre, pour compenser le déficit dû à cette dernière ainsi que pour faire face à l'expansion industrielle et au dépeuplement rurale la France fait appel aux étrangers, elle a besoin de main d'œuvre car elle a perdu plus 1,3 millions d'hommes au combat et le pays doit faire face aux nécessités de la reconstruction. Dans les années qui suivent la présence des étrangers ne cesse d'augmenter. D'après les statistiques officiels (qui sous estiment la réalité) le nombre d'étrangers double presque en 10 ans, passant de 1 532 000 en 1921 à 2 715 000 personnes en 1931. La France figure désormais au premier rang des pays d'immigration devant les Etats-Unis qui se ferme avec les lois des quotas. On retrouve ainsi en France des étrangers venant majoritairement d'Italie, de Pologne, de Belgique, mais aussi plus tard d'Afrique Subsaharienne, ainsi que d'autres divers exilés politique... En 1919-1920 L'Etat Français signe des conventions d'immigrations entres plusieurs pays surpeuplés d'Europe : La Pologne, L'Italie et la Tchécoslovaquie. Ces conventions garantissent l'égalité des salaires et les bénéfices des lois de protections sociales. Le parlement adopte également en 1927 une loi qui facilite l'accès à la nationalité française. Il suffit désormais de 3 ans de séjour pour pouvoir déposer une demande de Naturalisation. En ce qui concerne le recrutement l'état s'en remet au secteur privé, la société général d'immigration qui représente les intérêts patronaux, joue un rôle majeur dans la recherche, la sélection, le transport et le placement de plus de 500 000 ouvriers issu d'Europe centrale. Tous ces acteurs sont à l'origine des flux migratoires et encouragent par conséquent l'arrivé d'étrangers sur le territoire Français. Les migrants sont amenés a travailler dans divers secteur d'activités, et plus particulièrement dans l'industrie, les Italiens vont travailler dans la Loraine métallurgique, les polonais s'installent dans le nord charbonnier, les Arméniens dans la vallée du Rhône et les Russes en région parisienne. Le travail des Italiens et des Espagnols sauvent les campagnes

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