URSS
Dissertation : URSS. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Ourageon • 27 Mai 2018 • Dissertation • 1 391 Mots (6 Pages) • 682 Vues
Acte de lecture : le 9/02/2018 12/18
On considère kil ya aujourd’hui d’otre formes de lectures/ il : Wittmann parle de lecture approximative, ce qui permet de comprendre la cohésion globale du texte et de se repérer de certns textes. Lecture approximative : lecture sauvage appelé aussi, Elle va de pair ac une lecture à haute voix qui permet aux assistants d’écouter les textes.
Après 1789 on commence à s’intéresser aux nouveautés a sensations, concepts nouveau : liberté, fraternité, égalité. IL y a u des personnes qui lisent à haute voix les nouvelles, et ca a poussé a savoir lire pour se tenir informé. Ds les villes, ca évolue vite, un kart dla population citadine sait lire, membre de l’armée, du commerce… il fo les conditions matérielles pr lire : la lumière ; bougies, et c cher imir. Les domestiques savent lire tot, car ils regardent leurs maitres. L’imprimé fait partie intégrante de la vie quotidienne. Cette émancipation par le livre, est comparable en Allemagne à la même époque.
La lecture érudite domine. L’homme de savoir sait lire très vite un ouvrage. Cet homme fait objet de sarcasme, on lui préfère le petit maitre papillonnant. La lecture utile se maintient, et est valorisée. Cette lecture s’assimile à une sorte de devoir morale.
Lire pour apprendre, lire devoir morale.Y a eu une transformation, une mère veut ke sa fille apprenne à lire . On retient 4 best seller pr la littérature européenne : der Messias 1749 qui raconte la vie du chist sur un mode sentimental e subjectif. Les souffrance du jeune Werther de goete . Ces lectures sont faites comme sil s’agissait de lecture religieuses, ce sont des lectures d’adhésion et d’imitations, amtichki des nouvo lieu de transmission de croyance ;la foi et l’adhésion qui semble fonctionner ds ses romans, am les livres religieux. C lectures d’adhésion peuvent être source de plaisir et d’apprentissage.
Les lieux de lecture et comment lit on :
Emerge au 18e siecle, cette notion qui est : l’intérieur ; jai un intérieur/ LE LIEU DMON INTIMIT2 cete idée dla maison comme espcae protecteur ki doit etre doté des nouvoté du connfort. On va voir des espaces concus pr cete intimité : des meubles des chaises longue, la liseuse ; une sorte de chale pr lire trankil. On se retire pr lire ds des espaces retirés, intimes : closet en Angleterre. Le boudoir en france : un lieu ou on invite ses intimes.
On commence a trouver suspecte cette lecture d’adhésion kon pratik ds c lieux ou on est tout seule et kon reste ds son lit : c une lecture kon appelle aussi : narcotique. Va intervenir un autre discours ; c celui médical . LE 18e est perturbé par les masturbations masculines : plaisir solitaire, lecture solitaire ! mais c le sens. Ca pourrait engendrer de l’hysterie cette lecture intensive : ca comprime les organes génitaux , elles pourront pas porter d’enfants..etc . morale tjrla, juste deguisé par des zrguments scentifik. Elle créerait des dépendances comme une drogue .
Les autres nnande ca eloigne des devoirs religieux : les dangers de la lecture.
2 publik : lepublic male : le lecteur ki a les armes pr lire.
Les nouvo lectueurs : les enfans, les femmes et les ouvriers ; ils n’ont pas le socle sur koi s’appuyer ds leur lecture, ils lisent de manière naive et sauvge. Il faut leur donner les bons livres et là on voit ressurgir les livrs de religion ; ( pour écrire une bonne litt édifiante et les protéger des mauvais livres).
Faut pas emmener les femmes voir les drames romantik de Hugo ou Dumas, car ils vont lui donner le dégoût de sa condition présente et ‘inciter à la révolte. Ou lire des romans romantiques comme Mme bovay, va les conduire vers l’adultère. Mme Bovary est une Réponse à ce topos de la critik conservatrice.
Le triomphe du livre : un livre sur lhstr sociologik de la France je crois.
A compter de 1750, on peut lire sans acheter grâce aux bibyotek de prêt ou dans les cabinets de lecture. Aller au cabinet de lecture, favorise l’anonymat. Il existait des sociétés de lecture ki permettait d’accéder aux livres, ac des réunions ou on commentait des livres ki venaient de paraitre, mais c’était pas anonyme. c pas un lecture solitaire et ce n’est pas anonyme, il s’agit de se mettre informé.
Ces livres gras renvoient sans doute aux livres du début duu 19e siècle, je crois.
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