L’impact de la crise de 29 : déséquilibres, économiques et sociaux (et politique)
Cours : L’impact de la crise de 29 : déséquilibres, économiques et sociaux (et politique). Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar titurnasss • 29 Septembre 2022 • Cours • 588 Mots (3 Pages) • 325 Vues
Fragilité des démocraties, totalitarisme et seconde guerre mondiale
Chapitre 1 : L’impact de la crise de 29 : déséquilibres, économiques et sociaux (et politique)
Il y a une volonté de prendre la mesure des impacts politiques de cette crise ; de montrer qu’une crise économique est surtout quand elle est mondiale comme l’a été celle de la crise de 1929, elle a des répercussions sur la paix. La création de l’ONU en 1945 est le produit direct des enseignements tirés de la crise de 29. L’un des principaux objectifs de l’ONU est de sauvegarder la paix, notamment en luttant contre les écarts économiques : ils sont générateurs de tensions, qui elles-mêmes peuvent déboucher sur les conflits. C’est tout le contraire de ce qui s’est produit lors de la crise de 29.
La crise de 29 fut une crise mondiale : elle part des Etats Unis et finit par toucher tous les États liés à eux. Il aurait fallu à cette crise mondiale, répondre par des solutions mondiales. Plutôt qu’essayer de trouver des solutions collectives. Les Etats se sont repliés sur eux-mêmes à l’intérieur de leurs frontières, ce qui provoque un ralentissement du commerce international.
La France fut touchée plus tardivement et moins fortement que d’autres, car elle se rend compte qu’elle détient un empire colonial : c’est la formule “le salut par l’empire”. Il y a un renforcement des échanges entre la France et son empire colonial. La crise nourrit les extrêmes : c’est l’exemple de on ne saura jamais.
Crise de 29, Wall Street, beaucoup de gens déménagent et perdent leur emploi. Les USA est la 1ère puissance économique mondiale à la suite de la 1ère GM. Au lendemain de la 1ere GM, ils connaissent une petite crise mais ils se relancent très vite. Modèle du taylorisme (segmentation des tâches : ouvriers avec des qualifications spéciales) et modèles du fordisme (à la chaine) => augmentation de la productivité.
Euphorie des consommations : on ne voit pas les 1er signes de crise : on s’étourdit au rythme des Années Folles (20-29). Crise analysée différemment grâce au début du photoreportage.
Désertification dûe à l’exploitation intensive des ressources : les sols s’appauvrissent et des tornades incessantes soulèvent des tonnes et des tonnes de poussières.
Les profits dans les années 20 sont tellement importants que les banques sont extrêmement souple et prêtent de l’argent pour acheter des actions et avec 1$, on peut acheter 10$ d’actions. Donc quand l’action monte et tout au long, on rembourse très facilement les 9$ qui font la différence. Or tous les américains n’achètent pas des actions; pour une population de 100 M d’habitants il n’y a que 1,5M personnes qui en prennent. Parmi les profits d’acheteurs il y a un peu de tout.
Des conséquences économiques graves, le chômage augmente, les populations se retrouvent dans l’incapacité de payer leurs loyers (les expulsions s’enchaînent) et les boutiques ferment
Récap:
Ce n’est pas le crack qui entraîne la crise de 1929 puisqu’il était déjà présent (il accélère juste la crise) aux Etats-Unis et en Europe. Si les gens ne s’étaient pas précipités,
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