Candide question exercice
Cours : Candide question exercice. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar adelemmmm • 29 Novembre 2022 • Cours • 307 Mots (2 Pages) • 318 Vues
Candide, conte philosophique écrit par le biais d’un des nombreux pseudonymes de Voltaire ,« Mr. Le Docteur RALPH », en 1759 où il paru la première fois à Genève. Ce roman est le souffre douleur de l’auteur lui permettant de dénoncer les méfaits de la société de son époque. Vivant à l’époque des lumières, Voltaire fut un philosophe engagé contre la Grande Inquisition et à fait transmettre ses combats contre le fanatisme religieux, la tolérance et la liberté d’opinion dans ses écrits. Candide ou l’Optimiste met en scène le personnage éponyme de Candide, le héros ou personnage principale de l’histoire, où nous spectateurs le voyons évoluer et grandir, dès l’instant qu’il s’est fait chasser de son paradis jusqu’à la fin de ses aventures avec ses quelques compagnons, Cunégonde, Pangloss, la vieille, Cacambo, Martin et Paquette. Comme le signifie son nom le héros du conte est tous ce qu’il y a de plus naïf, crédule, pur et innocent. Le chapitre 6, se situant au début du roman, « Comment on fit un bel auto-da-fé pour empêcher les tremblements de terre, et comment Candide fut fessé » dans lequel l’écrivain critique la justice, la philosophie du philosophe Leibnitz et se démène contre le pouvoir de la religion. Il s’agira ici de montrer en quoi l’ironie est une arme efficace pour dénoncer le fanatisme religieux et la superstition dans ce chapitre. Nous verrons comment Voltaire va se servir des évènements historiques du tremblement de terre et ses conséquences avec les atroces pratiques de l’inquisition. Le moyen ironique qu’il utilise pour dénoncer l’incompétence du pouvoir religieux ainsi qu’une mise en scène et l’horreur des châtiments présents. Puis pour la troisième partie, comment l’auteur conteste la barbarie, comment il vise l’effet moralisateur après la remise en question de Candide et l’apologue composée d’argumentation indirecte, de fiction et d’une morale.
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