Mouvement Sociaux Et Nationalisme
Mémoires Gratuits : Mouvement Sociaux Et Nationalisme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 18 Novembre 2014 • 1 921 Mots (8 Pages) • 931 Vues
Histoire résumé mouvement sociaux et nationalisme
1) Condition ouvrière :
L’essor urbain est du à l’exode rurale, comme le travail manquait en zone rurale les gens rejoignais les villes afin de trouver du travail dans les usines nouvellement construites. Les ouvriers vivaient près de leur lieu de travail (usine)
Les services (épicerie, hygiène,…) n’étaient pas prêts pour recevoir autant de monde en si peu de temps.
Les grandes villes (métropole) se sont développées près des mers, océans, fleuves, voie de communications ainsi que près des sources de matière première. (Angleterre : charbon, fer, minerais ; nord de la France : charbon ; Rubre (Allemagne) : bcp de mines et le Rhin permettait de facilement transporter les marchandises).
L’essor des villes a induit une augmentation de la démographie de 3,4%.
Le domestic system : les entreprise donnait du travail aux paysans, et le soir ces derniers travaillaient pour leurs entreprises et amenait les produits manufacturés à l’entreprise. Ce système compensait la perte de rentrée financière durant l’hiver. L’avantage de ce système est que les produits étaient de très bonne qualité mais il fallait bcp de temps pour la production.
L’industrialisation : le principe est de tout fabriquer de a-z au même endroit. Diminue les frais de transport, les coûts,…
Truste : englobe l’ensemble des entreprises pour maîtriser toutes les étapes de la production.
Les banques se sont installées dans les grandes villes et se sont bcp développées car les entreprises devaient emprunter des capitaux pour se développer.
Les bourgeois pouvait vire au centre ville, alors que les ouvriers vivaient près des entreprises en surnombre encombrement.
Les ouvriers avaient de mauvaises conditions de travail, ils étaient contrôlés (livret), exploités (bcp d’heures de travail, les enfants devaient travailler, absence de retraite et d’assurance, amende en cas de non respect du règlement). Il n’avait que des devoirs et aucun droit.
Le livret est une sorte de passeport de l’ouvrier, chaque ouvrier était registré et avait besoin de présenter son livret afin de pouvoir être engagé. Si l’ouvrier voulait quitter de lui-même son entreprise, le patron ne lui rendait pas son livret.
Au début du 18ème tout les artisans étaient considérés comme des ouvriers, mais au 19ème l’ouvrier était une personne qui travaillait manuellement en échange d’un salaire.
Les ouvriers d’usines formaient le prolétariat (conscience collective) VS le capitalisme (bourgeoisie)
En avril 1884, le prolétariat s’est révolté.
Zola lors de l’écriture de germinal prend partie du prolétariat, les bourgeois compte à eux ne peuvent pas prendre toute les décisions car elles dépendent des actionnaires qui ne sont pas présent.
Anarchie : tout détruire pour tout reconstruire !
Grève : négociations, bras de fer, émeutes.
L’essor des villes :
C’est en Europe occidentale que la poussée fut la plus constante, et que son influence ai été la plus importante sur la population (industrialisation). Ils ont passé du domestic system à l’agglomération de la manufacture et à l’industrialisation. L’industrialisation a favorisé les grandes villes comme Londres, Paris, qui ont connu une forte augmentation de la population, les banques s’y sont développées et elles sont devenues les carrefours de la circulation grâce aux voies ferroviaires et maritimes position stratégiques pour la conquête des marchés des petites agglomérations et campagnes. L’industrie multiplie les fonctions des services publiques et privés.
Salaires industriels afflux des ruraux augmente pop. Ouvrière croissance du secteur tertiaire
Les grandes villes broie les petites sous leurs puissances économiques, l’irruption des chemins de fer avec un réseau en étoile centré sur la capitale accélère le processus.
La grande ville voit sa population croître brutalement à cause de l’industrialisation, de l’appel des services et la détresse des campagnes (les paysans sans travail vont en chercher en ville) et par l’arrivée d’immigrants.
Le centre ville cesse de croître et devient les zones de gestions (banques) et les bourgeois y vivent dans des immeubles.
La vie urbaine = problème :
1. Les routes doivent être entretenues.
2. Il faut éclairer les rues avec du gaz et après avec de l’électricité.
3. Creuser des égouts.
4. Evacuer les ordures.
5. Approvisionner en eau, aliments, énergie, matière première.
6. Encombrement des rues trop étroites.
La condition ouvrière :
La révolution industrielle provoque un bouleversement social, le développement de mines (charbon : énergie/ minerais : métallurgie), des fabriques et des usines (aux abords des villes) offrent du travail à une main d’œuvre rurale de plus en plus nombreuse, surplus alimentaire, progrès agricole, hygiène = révolution démographique.
Les ouvrier forment le prolétariat, ils travaillent jusqu’à 14-15 heures (temps que la lumière du jour le permet). Le travail à la chaîne permet d’engager une main d’œuvre peu qualifiée (travail répétitif) soumise à une discipline de fer (dépend du rythme des machines). Le règlement des entreprises en cas de non respect entraine des amendes. Les enfants doivent travailler dès leur plus jeune âge. Les salaires sont minimes les ouvriers sont sous-alimentés, vivent sans confort entassé des dans des pièces d’immeuble des quartiers pauvres. Leurs conditions de travails sont pénibles, entassé dans les usines insalubre, guetté par l’accident de travail ou la maladie, pas de protection sociale. Ils ne peuvent se déplacer sans leur livret de travail et les bourgeois les traitent comme si la classe laborieuse était une classe dangereuse.
Les ouvriers de petites entreprises (artisanat, bâtiment, métallurgie, imprimerie,…) ont des salaires plus élevés, des corporations, une indépendance. Ils détestent et méprisent la grande
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