Le génocide du Rwanda.
Étude de cas : Le génocide du Rwanda.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Emilie Dalle • 21 Octobre 2016 • Étude de cas • 381 Mots (2 Pages) • 1 092 Vues
Sujet d’argumentation :
Introduction : Le génocide s’est passé en 1944 à Kigali, c’est une guerre civile entre les Hutus et les Tutsi, deux peuples différents. Avec quel support peut-on ressentir les émotions pour exprimer la tristesse du Génocide du Rwanda avec un texte, un film, une chanson, une interview ou un journal télévisé ?
Il est plus simple de regarder une interview ou un journal télévisé pour ressentir des émotions au sujet du Génocide du Rwanda. Prenons l’exemple d’une interview diffusé le 26 mars 2003 présenter par Thierry Ardisson où Cornelius Nyungura plus connu sous le nom de Corneille. Il se fait interroger par l’animateur sur son parcours à Kigali au Rwanda avant le génocide (quelque année au paravent, 1944). Il explique tout ce qui s’est passé ce jour-là, il était chez lui avec ses parents au Rwanda et soudain les soldats font irruption dans la maison. Corneille continue à expliquer en racontant qu’ils étaient enfermés dans une pièce pour être fusillé à bout portant chacun leur tour. S’il ne s’était pas caché derrière le canapé de chez lui, il ne serait pas vivant aujourd’hui. Quand c’est arrivé, Corneille n’avait que 15 ans. Il a vu toute sa famille se faire fusiller devant lui. Il raconte qu’il s’est retrouvé dans les réfugiés qui se dirigeaient vers le Congo (environ 1808 km).
Contrairement à une chanson, on a plus de mal à ressentir les émotions au travers des paroles car il faut chercher la signification exact des paroles pour le chanteur. Prenons par exemple la chanson « Papaoutai » chanté par Paul Van Haver plus connu sous le nom de Stromae. Dans cette chanson, Stromae a voulu raconter l’absence de son père rwandais mort lors du génocide. Il l’a vécu par l’intermédiation de sa tante qui lui racontait des nouvelles sur son père.
Conclusion : J’en conclus que c’est plus facile de ressentir des émotions en regardant une interview, un journal télévisé ou une émission à ce sujet parce que les images et le détails des récits sont plus touchant et plus prenant émotionnellement plutôt que les paroles d’une musique qu’on aime bien et pour lequel on ne va pas forcément prêter attention à sa signification. On n’écoutera plusieurs fois que pour écouter la mélodie et se souvenir des paroles.
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