Socialisme Et Communisme
Recherche de Documents : Socialisme Et Communisme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Djisma97640 • 13 Mai 2013 • 396 Mots (2 Pages) • 1 278 Vues
H I 2 – L’historien et les mémoires de la Seconde
Guerre mondiale (fiche introductive).
Introduction :
La Seconde Guerre mondiale, compte tenu des événements s’étant déroulés en France entre 1940 et 1945, a
donné naissance à différentes visions, différentes mémoires concernant le conflit. Depuis la fin du conflit et
avec le travail des historiens, ces mémoires ont évolué.
Comment se sont construites les différentes mémoires françaises de la guerre (mémoires de Vichy et de la
Résistance, de la déportation et du génocide) ?
Tout d’abord, nous nous intéresserons à la mémoire de Vichy et de la Résistance. Ensuite, nous nous
attarderons sur la mémoire de la déportation et du génocide. Enfin, nous évoquerons les rapports entre
mémoire et histoire.
Plan :
I. Entre résistance et Vichy, la mémoire du conflit.
A. Le mythe résistancialiste (1945-1947).
B. L’éclatement de la mémoire et le triomphe de la mémoire gaulliste (1947-1968).
C. La fin des mythes (1969 à nos jours).
II. De Dachau à Auschwitz, la mémoire du génocide.
A. Le génocide oublié (1945-1961).
B. Les conditions de l’affirmation d’une mémoire juive (1961-début des années 80).
C. La victoire de la mémoire juive (début des années 80 à nos jours).
III. L’historien et les mémoires.
A. Mémoire et histoire, deux perceptions différentes du passé.
B. Une demande sociale d’histoire.
C. La vague mémorielle et sa contestation.
Conclusion :
Les mémoires de la Seconde Guerre mondiale ont connu une évolution au cours du temps. La mémoire de la
résistance et de la collaboration va ainsi évoluer de la défense de l’unité nationale jusqu’à l’acceptation de la
diversité des parcours. Concernant le génocide, l’évolution de la mémoire est là aussi importante, allant de
l’occultation derrière la déportation politique jusqu’à la reconnaissance de la spécificité du génocide juif dans
la déportation, ouvrant ainsi la voie au développement d’autres mémoires particulières (tsiganes, homosexuels,
témoins de Jéhovah, francs-maçons) mais qui n’en sont qu’à leur début (pas de journée de commémoration ou
d’hommage officiel pour la déportation des tsiganes). Ces évolutions ont des répercussions sur le rapport entre
mémoire
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