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La conquête de rome au Ier et IIeme siècle avt J-C

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Par   •  6 Octobre 2019  •  Dissertation  •  3 636 Mots (15 Pages)  •  756 Vues

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La conquête de rome au Ier et IIeme siècle avt J-C

Introduction:

« Prends-les ! Je suis brave, mais tu es plus brave encore, et tu m’as vaincu. »23

VERCINGÉTORIX (vers 72-46 av. J.-C.), jetant ses armes aux pieds de César, fin septembre 52 av. J.-C., à Alésia

Commentaires de la guerre des Gaules, Jules César

Ces mots du vaincu rapportés par le vainqueur servent d’épilogue à la brève épopée du guerrier gaulois, face au plus illustre des généraux romains.Cette citation provient de vercingétorix lors de sa défaite face à Jules césar. en effet Rome à conquit de nombreux territoires entre le IIè et I siècle avant JC et s’est ainsi étendu de la manche à l’euphrate, en orient et en occident. Bâtissant un empire pendant II siècle, les romains écrasent leur adversaire pour devenir une grande puissance à son apogée. Ainsi il semble légitime de se demander Comment l’impérialisme romain à su faire de Rome un empire de l’occident barbare à l’orient hellénistique ?

en effet la première moitié du IIè siècle marque le début de la grande expansion poursuivit intensément de 150 à 133 avt JC pour « arriver au Ier siècle avec empire de l’Euphrate à la manche.

La première moitié du IIè siècle marquant le début de la grande expansion

  1. L‘impérialisme romain

La guerre contre Hannibal maintenant terminée, Rome peut se concentrer sur les conquêtes. C’est alors l’important empire de macédoine qui est dans le joug de cette puissance. L’impérialisme de Rome va alors se manifester tant l’occident ou encore dans l’orient hellénistique.

Il convient donc de trouver une cause durable pour leur expansion. Celle ci n’est pas manifeste puisqu’il n’y a point de cause démographique, pas de volonté de croisade religieuse ou idéologique et accueille même les nouvelles croyance, pas de citoyen militaire professionnel pour conduire les hommes au front. vient donc la cause de l’appât de gain, de cette praeda très tentante pour les plus pauvres dont les conditions de vie ce sont dégradées . Il y a aussi l’appât des publica cad travaux publiques, fournitures des armés) que multiplie la conquête « au profil de ces compagnies de publicains occupé par les chevaliers au premier rang »

La volonté d’expansion de Rome provient en majorité de la compétition présente entre les différents généraux et les hommes politiques. Il y a aussi la recherche de gloire militaire pour ces hommes, les nobilitas en référence à Alexandre ou aux héros de l’empire hellénistique., modèles présents dans tous les esprits. Cependant le Sénat freine la plupart de ces ardeurs. Ainsi la conquête romaine résulte davantage de nombreuses initiatives sur le terrain que d’un grand dessin des autorités romaines. Il faut savoir que Rome à conquit en moins d’un siècle la macédoine, La gaule , La Grèce , l’est et le centre de l’Espagne, le domaine africain et Carthage. La stratégie de conquête de Rome est alors de s’allées avec les états et peuples locaux afin de s’assurer un soutient directement sur place . Pour l’orient et l’occident deux date clés émergent: 146 et 133. En effet cette première vague de conquêtes se caractérise par les premiers campagnes dans le monde hellénistique sans être suivit d’annexion et le Sénat dispose encore d’in contrôle fort sur ces expéditions.

Il y a diverse causes et réussites vis vis de cet impérialisme: Dans un premier temps la logique d’engrenage amène à la participation, face aux nombreux généraux à la recherche de gloire sur les conquêtes , nombreux sont les états majors voulant ainsi faire de même. L’engagement de Rome n’est pas négligeable en orient et cependant plus subtile en occident.

pour se faire différents moyens sont mis en place. les moyens diplomatiques effet la politique étrangère gérer par le sénat était sujette à la prudence et à la continuité . ainsi s’affronte au sénat les partisans du pacifisme inquiet des conséquences de l’expansion territorial et ceux qui supportent la guerre avec la possible gloire qu’elle apporte .

Effectivement les politiciens les plus démocratiques considèrent les conquêtes comme positives en ce qu’elles permettent d’apporter des bénéfices profitant au peuple (ils espèrent). Par ailleurs lorsque Rome est établit en Orient elle doit faire en sorte de s’assurer des points d’appuis. Pour emmener ses troupes en Espagne la maitrise de la gaule transalpine était nécessaire. Enfin l’Orient grec par sa culture et sa richesse apparait au II siècle comme le poumon du monde antique. il parait donc inévitable pour cette capital, si elle veut s’affirmer dans le monde, d’être présente en ces lieux. C’est dans cette optique que les victoires en occident apparaissent moins prestigieuses.

b) Expansion romaine en occident et en orient hellénistique

Rome se lance dans la conquête de l’occident dans un premier temps. Apres sa victoire sur Carthage, elle doit à assurer sa sécurité en Italie. Ainsi elle se consacre à la reconquête de la Gaule cisalpine au nord de l’Italie ( 197-191). Cette conquête prend pratiquement fin avec l’anéantissement des Boiens en 192. En 189 est fondé la colonie de Bologne, des anciennes colonies comme Crémone et Plaisance sont reconstituées. Cela permet de conserver le respect des celtes.

Par ailleurs une des autres priorité est alors de soumettre les montagnards ligures. Mais c’est avec de grandes difficultés que les romaines en viennent à bout.

En ce qui concerne l’Adriatique, En 181 est fondée la colonie latine d’Aquilée. C’est alors la dernière sur cet espace géographique. En plus de ces territoires pris de manière défensive, les romains ont pris les territoires en Espagne cédés par Carthage. Ils font face à la résistance des celtibères. Il assurent la paix au espagnols pour obtenir en échanges l’émigration d’un certain nombre d’italiens attirés par les métaux précieux ibériques.

- Rome s’attaque alors à l’orient hellénistique: après avoir refuser une première fois de voter la guerre contre Philippe V de Macédoine, les comices centuriates finissent par accepter ce conflit en 200. Le peuple se laisse alors convaincre par le désir de venger l’intervention d’Antigone aux côtés des puniques quelques années auparavant dans la guerre de macédoine. le roi de Macédoine s’est alliée avec Hannibal un des grand ennemi de Rome. À ce moment Rome se méfie grandement du rapprochement entre l’état séleucide et la Macédoine. Une coalition entre les 2 ( si elle se formait) constitue une menace  potentielle importante. L’objectif des romains est de conserver l’équilibre politique en orient. Cela pousse à l’attaque en raison des ambitions individuelles de quelques chefs prestigieux avides de gloire comme Alexandre l’avait montré.

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