Historiographie antique

Historiographie antique

def de l'historiographie : « art, travail de l'historiographie. Ensemble d'ouvrage d'historiogrpahie ».

Historiographe : « auteur, écrivain qui était chargé officiellement d'écrire l'histoire de son temps », mais également ils pouvaient écrire sur des périodes très reculler ( ensembles des historiens romain ).

L’historiographie est l'étude de l'histoire.

I. Introduction. Écrire l'histoire en Grèce et à Rome.

Def histoire :

• la connaissance du passé humain
• la méthode et la discipline permettant d'élaborer et de transmettre cette connaissance du passé.
• Les œuvres littéraires consacrées à cette connaissance.

D'après Pau Veyne, il dit « que l'histoire n'est pas une science et n'a pas bcp à attendre des sciences ; elle n'explique pas et n'a pas de méthode : mieux encore, l'Histoire, dont on parle bcp depuis deux siècle, n'existe pas ». « La réponse à la question n'a pas changé depuis 2200 ans que les successeurs d'Aristote l'ont trouvé : les historiens racontent les événement vrais qui ont l'homme pour acteur ; l'histoire est un romain vrai ».

L'historiens essaye de comprendre les événements et de les expliquer d'après les sources.

« La méthode de l'histoire n'a pas fait aucun progrès depuis Hérodote et Thucydide », mais cette affirmation est à nuancer.

Les historiens de l'antiqué faisait de l'histoire sans forcément sans rendre compte. Il ne pensaient pas être classé dans le genre historique. Dans l'antiquité, dans la préface, l'auteur y explique son intention. Les préface ( topos = lieu commun ) est donc un lieu commun, une constance. Parmi les constance, il y a la critique des prédécesseurs, la raison principal est de mettre en valeur son propre ouvrage ( faire mieux que son prédécesseur ). C'est critique portent tjr sur les mêmes choses :

• ignorance des sources, imagine les faits.
• L'incapacité à s'informer ( ne pas avoir fait d'enquête sur place … )
• le mensonge.

Une autre manière de mettre en avant son travail est de dire que c'est un sujet neuf, il n'a jamais été traité. La nouveauté du sujet mermet de ne pas trop justifié.

Les historiens de l'antiquité ont aussi conscience de faire partie d'une ligné, et continué le travail d'un prédécesseur, soit pour continuité l’œuvre, ou le compléter. Exemple avec Thucydide, la guerre du Péloponnèse ( l. 89 – 118 ).

L'historien de l'antiquité s'intéresse en priorité à un temps présent ou un passé très proche. Pour les historien qui remonté plus haut dans le temps, le problème des sources vont bloquer leurs écriture ( sauf certains ). IL y a tjr la volonté de rattaché le passé au présent ( exemple de Denys d'Halicarnasse ou encore Tite – Live ). Ils sont la volonté de faire une histoire utile : exemple qu'il faut suivre ou éviter. Ils ont le rêve que les lecteurs de leurs œuvres ne face pas les mêmes erreurs.

Dans les ouvrages historiques contemporains il faut jusitfier pourquoi on prend une source et pas une autre etc...

La subjectivité est différente. L'histoire d'aujourd'hui sait qu'il ne dois pas se laisser influencer par ses orientations politiques, par ses sentiment etcc. Son œuvre est dénué de toute passion. Contrairement aux auteurs de l'époque antiqui sont très subjectifs.

Est ce que les Grecques sont les premiers historiens ? La réponse est oui et non. Non parce que avant les Grecques, il y a des eux des civilisations qui ont produit des écrits qui s'apparente à l'histoire. On trouve cela dans l'empire d'Akkadien, fin du IIIe millénaires. Des écrivains professionnelle vont écrire des liste de souverains, ainsi des récits rattaché au souverains. En Égypte, on trouve des liste royales au IV millénaires. En Égypte on consignes les événements. Dans cette proto historiographie, les écritures sont lié au pouvoirs monarchique qui commande ce genre d’œuvres ; pour garder une mémoire de ses événement, et ainsi de montré sa légitimé au pouvoir. C'est premier liste sont vraiment lié à un pouvoir fort, qui cherche à ce légitimé. Cette proto historiographie est écrit par une élite, la connaissance de l'écriture. C'est une histoire élitiste.  Est ce qu'on peut parler d'histoire dans le sens où on l'a pratique ? Non, car ce sont des listes de souverains, il n'y a pas de regard critique, pas de travail avec les sources, c'est en embryon d'histoire. D'après François Hartog : « Si les Grecs ont inventé quelque chose, c'est moins d'histoire comme sujet écrivant ».

Par contre les Grecques avant les historiens. L'historien Grecque se positionne en tant qu’individu ( il utilise le « je » ), il ce présente, et s'affirme donc comme auteur. Cete affirmation de l'auteur se place dans un contexte plus générale : fleurissement de la philosophie, et ont affirme très tôt chez les grecque l’anthropocentrisme. IL y a pas d'histoire sans Homme. Lucien Febvre dit « Il n'est d »histoire que de l'homme ». Un autre facteur qui a favorisé cette émergance de l’anthropocentrisme est la démocratie. Hors, les grecques vont développé la culture du débat ( dans les assemblées de citoyens ). Et cela va se trouver chez les historiens grecques, ainsi que de débattre. Cela va favorisé l’émergence des historiens. Le genre historique apparaît assez tard dans la civilisation grecques. IL n'y a pas d' œuvre historique n'y littéraire en linéaire B ( Mycène ).  Par contre, il faut pensé qu'on se raconté des histoires, mais qui sont sous formes oral. Après les Mycéniens, ont a les age obscures ( disparition du linéaire B et plus de trace d'écriture ). Ensuite, on a l'apparition d'une écriture nouvelle en grecques, sous forme d'alphabet. Cela apparaît au VIIIe siècle avant Jc, avec l'apparition des premières œuvres littéraire. Homère fut le premier, avec ces poème. Mais Homère n'est pas considéré comme un historiens, mais pour bcp de grecque, les histoire de l'Iliade et l’Odyssée sont considéré comme des œuvres historiques.  Hartog dit : «  il leur faudra encore trois siècle pour se mettre à écrire leurs premières histoires, à la suite de l'ébranlement qu'ont réprénté les guerres contre les Perses ». Le premier historiens ont donc Hérodote pour Hartog.

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