Synthèse de l’étude de cas: Le Mercantour.

Géographie

Synthèse de l’étude de cas: Le Mercantour.

Lacourt                                                                                                 1°ES2

Romain                                                                                                      

La France est un pays d’Europe qui possède des reliefs, ainsi que des climats très variés, allant de la mer a la montagne, du climat océanique au continental. Cette diversité géographique fait qu’elle doit valoriser ces différents paysages en fonction divers avantages et inconvénients de chaque relief. En effet la France peut tirer profit de cette diversité, car cela lui procure une certaines polyvalence touristique, mais ces territoires sont souvent fragilisés du fait de l’activité humaine. Le Massif du Mercantour, qui de situe dans le Sud-Est de la France, représente bien ces milieux difficiles à aménagés. C’est suivant ce point de vue que nous nous demanderons en quoi le Mercantour nécessite-il un aménagement spécifique à sa valorisation ?

Nous verrons pourquoi ce massif représente un milieu au grand potentiel, mais difficilement valorisable, puis nous analyserons les aménagements qui y ont été réalisés, et leurs conséquences.

      Le Massif du Mercantour est un massif appartenant aux Alpes, qui se situe à cheval sur les départements des Alpes maritimes et de Haute-Provence, et le sud ouest de l’Italie. Son sommet est la cime du mont Argentera qui se situe coté Italien, et qui culmine a plus de 3 200 mètres. Coté Français, le point le plus haut est la cime du Gélas, qui atteint les 2 800 mètres. Cette altitude en fait un territoire peu attractif de nature, hors-mis pour les éléveurs et autres agriculteurs qui dispose d’un espace conséquent pour leur activités. En effet, le massif compte 17 700 habitants environ, pour une surface de 1 465 km carrés. De plus, cette espace est relativement mal desservit au niveau routier, ce qui ne facilite pas l’accès aux différents points du massif.

Cependant ce milieux possède des atouts économiques, mais ceux-ci sont très spécialisés. En effet cette absence de grande voies routières dans le massif, ainsi que l’activité agricole présente, et la biodiversité du massif favorisent grandement le tourisme vert et le commerce de produit du terroir, qui sont d’ailleurs les principales activités économiques dans le massif, durant le printemps et l’été. Mais cette agriculture se voit petit à petit repoussée et laissée à l’abandon, du fait de la difficulté à entretenir les installations, due au relief hostile. La concurrence du Tourisme maritime (notamment Italien) se fait également ressentir sur cette activité, qui souffre d’une régression depuis 1990. L’autre activité majeure du massif, cette fois durant l’hiver, est la mise en place de stations de ski. En effet, le massif compte quatre stations de sport d’hiver, dont deux éco-responsables, sur lesquelles nous reviendrons. Cette activité touristique est en pleine essor depuis les années 80 et attire maintenant la majorité des touristes du Mercantour ( environ 45% de touristes étrangers dans ces stations ) qui attire chaque année environ 14% des touristes de France.

Malgré ces atouts économiques qui biens que restreints sont importants, le massif du Mercantour reste un territoire difficile à aménager, notamment à causes des nombreuses contraintes naturelles présentes. En effet, la géologie est propice aux glissement de terrains, séismes et avalanches, et l’activité humaine à contribué à fragiliser le milieu et donc accroître ces risques. Les nombreuses forêt et rivières peuvent provoquer des incendies et inondations. Cela représente un frein pour le développement du massif, comme par exemple lorsque les stations on été  inaccessibles à cause d’un glissement de terrain en 2014.  Toutes ces contraintes pénalisent la valorisation de ce territoire et malgré des secteurs d’activité économiques importants, le massif du Mercantour doit faire face à des problèmes d’ordre géologiques, mais également à des conflit d’usage liés à son aménagement.

      En effet, le Parc du national du Mercantour (acteur majoritaire de la valorisation du massif, financé par l’État) s’est tourné depuis 2015 vers un projet de développement durable du massif. Par exemple, deux stations de ski éco-responsables  dans les villages d’Allos et Valberg, stations qui ont adoptés plusieurs mesures écologiques dont:

-l'isolation de tous les bâtiments publics afin de limiter le chauffage et donc la                                              

 consommation énergétique.

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