Relations dominantes / dominantes
Commentaire de texte : Relations dominantes / dominantes. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Quentin3522 • 8 Avril 2015 • Commentaire de texte • 339 Mots (2 Pages) • 792 Vues
Titre : Les rapports dominants/dominés
Développement : La pièce met en scène l'histoire d'Iphicrate et son esclave Arlequin, ainsi que d'Euphrosine et Cléanthis, son esclave, qui après le naufrage de leurs navire échouent sur une île où se sont réfugiés les esclaves révoltés d'Athènes. Cela tourne mal pour nos deux maîtres qui vont devoir échanger leurs rôles avec leurs esclaves et ainsi faire l'expérience de la vie d’esclave ce qui va leurs permettre de se rendre compte de tous leurs défauts. Leurs esclaves désormais affranchis deviennent leurs maîtres et leur font subir diverses épreuves pour leur faire ressentir les maux qu'ils ont éprouvés. "Nous vous humilions, afin que, nous trouvant superbes, vous vous reprochiez de l'avoir été."
L’île aux esclaves est une pièce de théâtres écrit en 1725 par Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux , plus connu sous le nom de Marivaux, né le 4 février 1688. Marivaux a été un écrivain prolifique : de 1713 à 1755, il a publié pratiquement tous les ans. Il a publié une quarantaine de pièces de théâtre, en un ou trois actes le plus souvent, sept romans et récits parodiques, trois journaux et une quinzaine d’essais.
Ce qui m'a particulièrement plu dans cette œuvre, c'est l'idée directrice du livre, qui est à la fois originale, plaisante mais qui porte également à réfléchir sur la hiérarchie des relations humaines. En effet, les rapports dominants/dominés seront toujours présents et pose encore de nos jours, nombre de problèmes sociaux. L'idée d'inverser les conditions entre esclaves et maîtres apporte un intérêt à l’œuvre, du fait qu'elle apporte à la fois des situations relativement drôles mais porte aussi la base de la réflexion que va développer Marivaux. L'avantage est que cette pièce se lit vite et que l'on ne s'ennuie pas. Dans cette pièces en un acte publié en 1725, Marivaux fait une critique cinglante de la société et s’inscrit dans le siècle des lumières, comme voltaires
Pour conclure ont peut dire que c'est un livre intéressant, satirique qui engage une réflexion sur les inégalités et les injustices social qui sont encore d'actualité.
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