Le Pouvoir Royal Sous L'ancien régime
Note de Recherches : Le Pouvoir Royal Sous L'ancien régime. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 8 Octobre 2013 • 1 235 Mots (5 Pages) • 2 903 Vues
: L’ancien régime est une expression qui a été attribuée à la Monarchie française par les révolutionnaires de 1789. Cela désigne donc le gouvernement de France aux XVII et XVIII. Sous l’ancien régime donc, le pouvoir royal était très présent. Les rois qui se sont succédés sous l’ancien régime sont, Henri IV, Louis XIII, Louis XIV, Louis XV et Louis XVI. Ils faisaient partis de la famille des Bourbons. Mais le pouvoir monarchique s’incarne dans la personne du souverain. Il est a la foi la force et la faiblesse du pouvoir monarchique.
Il a développé une espèce de rapport affectif avec ses sujets. Mais les sujets lui demandent d’être à la hauteur de l’affection qu’ils sont censés lui porter. Le pouvoir Royal est donc en majeure partie représentée par le roi, mais, d’autres institutions le seconde, comme par exemple le clergé. Nous allons donc voir dans une première partie, quels sont ces ordres qui seconde le roi dans son exercice du pouvoir, puis ensuite nous verrons que ce pouvoir royal comporte tout de même quelques limites.
I) Les différents ordres :
1) Ordre Politique :
1-Le roi : Ordre dynastique, Bourbons hérités de Hugues Capet selon la règle de la loi salique. C’est une dynastie élective, religieuse et miraculeuse. Des traités sont souvent publiés pour étoffer l’idéologie royale. Tous ces traités font du roi le seul détenteur de tous les pouvoirs qu’il incarne. Chacun des pouvoirs est symbolisé par un objet représenté sur les portait officiel de Louis XIV
La couronne : dignité royale
Sceptre avec fleur de lys : pouvoir politique
Main de justice et épée de Charlemagne : défini le suzerain prince des nobles et chef militaire de la nation
Globe surmonté d’une croix : montre la valeur universelle et religieuse de pouvoir absolu.
2-L’armée Royale : A partir du XVIIIe siècle, l’armée royale est organisée en régiments de soldats professionnels, français ou étrangers (suisses, hussards, reîtres et lansquenets), recrutés par les sergents des différents régiments. Le roi décide de la guerre et, jusqu’à Louis XIV au moins, de sa conduite ; Louis XV et Louis XVI sont de plus en plus en retrait de ce point de vue. L’armée la plus importante reste celle de Louis XIV : en 1701, elle représente 300 000 soldats. Cette armée permet au royaume d’acquérir son extension quasi définitive. Elle demeure toujours présente dans les conseils du roi : en effet, monarque absolu, celui-ci doit aussi écouter son entourage car, comme cela a été enseigné à François Ier, « Le roi ne doit vouloir tout ce que le roi peut. »
3- Les conseils et la cour du roi : L’origine des différentes instances chargées de conseiller le roi se trouve dans la monarchie capétienne. On a instance judiciaire représentant le roi de Justice, le Parlement de Paris, et une instance politique, le Conseil du roi. Le Parlement est chargé au niveau de l’État de deux missions principales : d’une part, il est l’instance d’appel suprême de la justice royale ; d’autre part, il est chargé d’enregistrer les décisions du roi, c’est-à-dire de les légitimer. De la même façon, les conseils du roi apparaissent comme des instruments souvent ambigus de l’exercice du pouvoir absolu. Même s’ils sont toujours choisis par le roi, certains « conseillers » siègent de droit comme les reines mères, les reines, les princes du sang, voire les grands nobles ; d’autres le sont en fonction de leurs compétences et de leur fidélité réelles ou supposées, enfin, il est possible d’acheter un office de conseiller du roi. Tous les principaux représentant sont tout de même puisés dans la cours.
2) L’ordre administratif.
1-Le service civil du roi : Les missions traditionnelles
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