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La Christianisation Des Norvégiens

Chronologie : La Christianisation Des Norvégiens. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  31 Décembre 2014  •  Chronologie  •  507 Mots (3 Pages)  •  624 Vues

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les actes rédigés en latin, il se faisait nommer Augustinus, et il déploya un grand zèle pour

favoriser l'implantation des chanoines de Saint-Augustin en Norvège (E. GUNNES, Erkebiskop

Øystein..., op. cit., p. 193-194).

74  T. TOBIASSEN, « Tronfølgeloven og privilegiebrev. En studie i kongedømmets ideologi

under Magnus Erlingsson », HT, t. 43, 1964, p. 181-276 ; E. GUNNES, Kongens ære..., op. cit.,

p. 132-147.

75  « Iustus autem, ut leo confidens, absque terrore erat » (Passio Olavi, op. cit., p. 69).

76    «  In regali fastigio constitutus spiritu pauper erat, et terrenis negociis implicatus

nichilominus meditabatur celestia. Quicquid diuina lex prohibet uehementer abhorrebat  ;

quicquid precipit ardentissimo complectebatur amore » (ibid., p. 68).

77  « In futuro eciam prouinciis quibus preerat prouidens, ne nobiliores et potenciores per

potenciam humiliores opprimerent, leges diuinas et humanas multa plenas sapientia, et mira

compositas discrecione, scripsit et promulgauit » (ibid., p. 70-71).

78  Eystein le qualifie de « modestissimus et equissimus arbiter » (ibid., p. 71).

79  Ibid., p. 71.

80  Un miracle attribué à saint Olaf est significatif de cet aspect de l'image du saint roi. Un

dimanche, le roi se mit à tailler une branche de bois ; un homme qui se tenait à ses côtés lui

en fit la remarque en disant : « C'est demain lundi, seigneur roi ». Comprenant sa faute, le roi,

pris de remords, rassembla tous les copeaux de bois en sa main, avant d'y mettre le feu. Par

miracle, sa main ne fut pas blessée (ibid., p. 85).

81  Selon la loi de succession au trône, le fils aîné du roi devait succéder à son père, sauf

s'il n'était pas jugé convenable pour cette charge. En ce cas devait être désigné celui de ses

frères qui paraissait le meilleur à un collège composé de l'archevêque, des évêques et des

douze hommes les plus sages de chaque diocèse. Au nom d'un principe que l'historien Torfinn

Tobiassen a qualifié de « principe d'idonéité », le haut clergé se voyait ainsi reconnaître une

place de choix dans la désignation du roi (T. TOBIASSEN, « Tronfølgelov og privilegiebrev... »,

loc. cit., p. 257).

82  Le maître parisien estimait en effet que le pouvoir spirituel devait instituer le pouvoir

temporel (M. PACAUT, La théocratie..., op. cit.,

...

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