Erritoires et inégalités de développement : pourquoi les disparités sont-elles aussi visibles dans le cas du Mexique ?

HISTOIRE-GÉOGRAPHIE: DEVOIR 1

1. Le document est une photographie, elle a été réalisée au début du XXème siècle.

1. On peut observer un appartement minuscule, il est très sale et on peut voir comme ces  hommes vivent en de très mauvaises conditions. On peut constater que quelques-uns dorment sur un matelas au sol parce que il n’y même de place pour un lit. Aux murs lesquels sont d’une saleté incroyable on peut voir comme il y a quelques étagères avec tous ses affaires. Ils n’ont que le nécessaire pour survivre puisque ils sont des immigrants qui vient d’Europe et donc ont du traverser l’Atlantique dans un bateau où ils ne pouvaient avoir qu’un équipage très léger. Ces hommes semblent épuisés sûrement c’est à cause des longues journées de travaille auxquelles les immigrant devaient se soumettre pour un salaire moins que minimum.

1. Je pense qu’avec cette photographie l’auteur voulait dénoncer les déplorables conditions de vie auxquelles étaient soumis les immigrants aux grandes villes pendant l’époque de l’industrialisation aux États-Unis. Il voulait faire voir au monde entier les conditions inhumaines dans lesquelles ils devaient vivre pour obtenir un salaire qui n’était même pas suffisant pour un vie digne.

1. Je pense qu’on pourrait compléter le document par un texte expliquant les condition déplorables des immigrants en plus grand détail et donnant l’opinion de l’auteur sur ce sujet ou bien je compléterai cette photographie avec un graphique montrant comme en très peu de temps la population des grandes villes en Amérique a augmenté et que puisqu’elles n’étaient pas préparées pour cette croissance démographique, cela a été la cause des mauvaises conditions de vie des immigrants

        Tout au long du XIXe siècle, la population de l’Europe connaît une forte croissance. Elle passe de 187 à 401 millions d’individus en 1914. Ce sont des millions d’Européens qui, majoritairement après 1840, décident d’émigrer outre-mer. On va étudiera photographie prise anonymement au début du XXème siècle et donc en pleine vague de migration européenne vers les États-Unis. Cette photographie présente des immigrants Italiens en Amérique. En va essayer de répondre a la question de comment étaient reçus tous ces immigrants aux États-Unis en se concentrant dans le cas de l’Irlande, le pays qui a connu l’émigration la plus massive.

        L’Irlande avait un population d’environ 8 millions d’habitants pendant cette époque. La population était constituée majoritairement de fermiers qui étaient plutôt pauvres puisque les terres ne les appartenaient pas. À cause de la grande population de paysans, la base de l’alimentation en Irlande est la pomme de terre entre autres car elle est nutritive et facile à cultiver. Beaucoup d’Irlandais dépendent de cet tubercule et un mauvaise récolte peut mettre le pays au bord de la disette. En septembre 1845, presque la moitié de la récolte de la pomme de terre est détruite à cause du mildiou, un champignon parasite qui rend le tubercule inconsommable. Les récoltes n’améliorent qu’à partir de 1850. Ces mauvaises récoltes provoquent une pénurie alimentaire qui devient un famine catastrophique. Les gens meurent par milliers à cause des épidémies. De plus les paysans perdent ces terres puisqu’ils ne peuvent pas payer leur loyer. Même si l’émigration d’Irlande ne commence pas avec la  crise de la pomme de terre. Avec la famine et ce qu’elle entraîne, l’émigration devient pour beaucoup la seule solution pour survivre. Entre 1845 et 1855 1,3 millions d’irlandais quittent l’Irlande et la grande majorité partent vers les États-Unis. Leur voyage en Amérique été très dangereux, il voyageaient entassés dans des navires et beaucoup d’entre eux mourraient pendant le voyage. À leur arrivée ils devaient y aller à Ellis Island où ils passent des interviews et des examens médicaux et selon les résultats ils pouvaient entrer aux Etats-Unis ou pas. Leur accueil en Amérique été très difficile puisqu’ils étaient les victimes de la xénophobie. La plupart d’entre eux s’installent dans des grandes villes industrielles où les hommes travaillent dans des déplorables conditions dans des mines ou des voies ferrées et les femmes restent chez elles pour prendre soin de la maison et des enfants. À cause des différences culturelles les irlandais commence à se regrouper dans des quartiers avec des autres irlandais qui s’appellent “petite Irlande”. Peu à peu les Irlandais s’intègrent et commencent a avoir des meilleur métiers surtout a New York.

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