L’Histoire du Transport et sa place dans l’Economie

L’Histoire du Transport et sa place dans l’Economie

« A travers le temps l’Homme n’a fait qu’innover dans sa manière de se déplacer, encore plus au XIXème siècle avec l’apparition de la technologie. »

Conférencier : Mr. TODESCO Jean-Louis

Fonction : Responsable du développement des compétences et de la formation chez RATP

Le moyen de transport le plus ancien est sans doute le portage humain, par la suite l’homme a utilisé les animaux pour l’aidé à porter et tirer de grosse charges. 

A l’époque Romaine l’apparition d’un premier réseau de transport routier vue le jour, notamment grâce l’invention de la roue et des routes. Seulement, à cette époque le transport de marchandise ce fait principalement par voie fluvial et maritime.

Au Moyen Age 85% des marchandises sont transporter par voie fluvial et maritime, les transports routiers sont empruntés majoritairement par les étudiants, marchands et soldats. Les chemins sont «  semés d’embûches » de très mauvaise qualité et dangereux d’où la favorisation du transport maritime pour les marchandises.

L’ancien régime laisse place aux grands ouvrages qui se multiplie dans les canaux (écluse). Il y a aussi de plus grand bateaux pour les grandes traversées, c’est la période des grandes découvertes. 

On pourra constater une prospérité du transport maritime jusqu’au XVIIIème siècle, à la même époque on a la construction de routes et de nombreux ponts par le corps d’ingénieurs des Ponts et chaussées.

Blaise Pascal en 1661 a créé la société des carrosses à cinq sols, la première forme de transport en commun, malheureusement il fut vite écarté par la bourgeoisie afin d’exclure la classe populaire.

En 1820 le réseau des canaux atteint 12780 km, en 1830 les infrastructures portuaires se développent avec l’apparition de la machine à vapeur.

Seulement, la machine à vapeur est à double tranchant pour l’industrie portuaires, on voit l’apparition des voies ferrées. Le transport ferroviaire connais une augmentation considérable, notamment grâce à Alexis Legrand avec « l’Etoile de Legrand », un réseau ferroviaire national avec Paris comme points de liaison de toutes les voies. Aussi bien utilisé pour le transport de marchandises et les transport en commun (tramways).

La machine à vapeur a aussi favorisée le transport routier et surtout les transport en collectivité. 

La plus grande innovation pour le transport routier, reste l’invention du moteur à explosion en 1860 et sa commercialisation en 1891. Viens ensuite le célèbre moteur diesel mis au point en 1897 par Rudolf Diesel.

Le moteur diesel a révolutionné le transport routier et également le transport maritime. 

Au XXème siècle les transport fluvial diminue considérablement (8500 km). On transporte beaucoup plus de marchandises que d’individus, les infrastructure portuaire ne fait qu’évoluer et prendre de plus en plus de place. Les méthodes de construction évolue aussi.

Le transport collectif est en croissance avec l’arrivée du métro, tramway, TGV et des bus. Avec l’essor du marché de l’automobile et des poids lourds s’en ai suivi une amélioration des routes et la création d’autoroute.

Le transport routier domine le trafic en France, près de 2/3 du transport de marchandises s’effectue aujourd’hui sur route. 

Le mode de transport le plus récent est bien évidement le transport aérien qui a remplacer les transport maritime pour le transport d’individus plus rapide et plus sûr. Il est aussi favoriser pour le transport de marchandise.

« Tous les chemins mènent à Rome »

L’augmentation d’une population entraine automatiquement une hausse des déplacements et donc nécessairement un flux plus important des transports. Chaque grandes villes est constituer de la même façon, toute les voies mènent au centre de la ville et les habitations sont en périphérie du centre de celle-ci. Pour que les personnes les plus éloigner du centre puisse si rendre, les transports sont mis à leurs disposition également ils permettent d’alléger les routes. Toutes grandes villes connais ce problème « les embouteillages » ou « bouchons », car chaque ville a était conçu et penser de la même manière, un centre commun.

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