Deux des objectifs ratés pour les voyages de Cartier
Compte rendu : Deux des objectifs ratés pour les voyages de Cartier. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ooooooooiiii • 29 Novembre 2022 • Compte rendu • 424 Mots (2 Pages) • 273 Vues
Un des objectifs de Cartier était d’évangéliser les autochtones au Catholicisme, car, à l’époque, c’était une sorte de concours de popularité entre religions. Malheureusement pour lui, il n’aura jamais, de sa personne, évangélisé les autochtones, mais n’a pas non plus essayer de s’intégrer à la religion et culture autochtone, il ne faisait que s’y intéresser. Il n’a d’ailleurs même pas chercher à le faire, selon Jacques Portes, trouvant les autochtones sauvages, même si ça ne l’a pas empêché de planter une croix latine à Gaspé lors de son premier voyage. Cependant, comme mentionné plus haut, il n’a pas non plus ignoré les autochtones et leur culture. Comme on peut le lire dans le document #11, les Stadaconéens ont une fois, pendant l’hiver, attaqué la petite colonie dû au fait que les Français ne respectaient pas leur culture, leur manière d’être et leur forme d’humanité. Il est donc mis de l’avant, par M. Bibeau, que Cartier n’a pas essayer de s’intégrer dans la culture autochtone. Il ne faisait que s’y intéresser, comme on le dit dans le document #14. Il a d’ailleurs fait un lexique de 54 mots pour entrer en contact avec les autochtones.
Un autre des objectifs de Jacques Cartier était de trouver une route vers l’Asie. Cette fois-ci, il n’a pas du tout réussi à compléter son objectif. Jacques Cartier n’a, dans aucun de ses voyages, trouvé une route menant à l’Asie. Certes, c’était une tâche impossible, mais c’est tout de même un échec. Comme on peut le voir dans le document #2, Cartier ne se rendra jamais en Asie et, ce, dans aucun de ses voyages. Le plus loin qu’il se rendra sera aux rapides Lachine, là où il fait demi-tour lors du deuxième et troisième voyage, ne pouvant pas les traverser. Aussi, comme on peut le lire dans le document #8, de la mi-novembre à la mi-avril, que les bateaux furent pris dans les glaces. La neige atteint quatre pieds et plus et le fleuve gela. Les recherches se sont donc ralenties dans cette période, ce qui a nui à Cartier dans la réussite de son objectif. En fait, comme M. Lacoursière l’a dit, Cartier n’a pas trouvé de chemin vers la mer de Chine. Finalement, même si ses connaissances sur le réseau fluvial ont commencé à se complexifier avec le temps (il connaît la rivière Richelieu, le fleuve St-Laurent, la rivière des Outaouais qui conduit à de grands lacs), il ne trouvera jamais de route vers l’Asie, il ne se doutera même pas qu’il n’y a aucun chemin y menant.
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