Le National pendant la révolution française
Commentaire de texte : Le National pendant la révolution française. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Pablo.boisseau • 5 Novembre 2021 • Commentaire de texte • 791 Mots (4 Pages) • 320 Vues
Le National pendant la révolution de 1830.
Les auteurs de ces articles sont Adolphe Thiers et Armand Carrel. Adolphe Thiers est un journaliste libéral, partisan d’une monarchie constitutionnelle dans laquelle, le roi règne, mais ne gouverne pas. Armand Correl est secrétaire d’Adolphe Thiers dans le National, il partage les mêmes idées qu’Adolphe Thiers. Le National est un journal public fondé en 1830 par Adolphe Thiers et ces associées dont Armand Correl pour combattre la Seconde Restauration. Le document est composé de quatre articles de presse datant du 29 juillet 1830 au 2 août 1830. C’est une continuité, un récapitulatif de chaque jour, de la contestation qui a lieu à Paris contre les ordonnances de Saint-Cloud. Fondé sur l’article 14 de la charte constitutionnelle, les ordonnances de Saint-Cloud ce sont quatre articles promulguer et signer le 25 juillet 1830, destiné à briser l’opposition. Ces cinq ordonnances suspendent notamment la liberté de la presse, ce qui concerne directement les journalistes. Mais également la restriction du droit de vote, la dissolution une nouvelle fois de la chambre des députés, la convocation des collèges électoraux puis la nomination d’un nouveau conseiller d’état. Charles X a publié ces ordonnances pour projet principal de reconstituer dans la chambre des députés, une majorité parlementaire favorable, puisqu’aux dernières élections l’opposition est largement majoritaire avec deux cent soixante-quatorze sièges contre seulement cent quarante-cinq aux candidats ministériels. À la suite de ces ordonnances les oppositions sont nombreuses, aux yeux de l’opinion publique, ces ordonnances apparaissent comme un véritable coup d’État. Quarante-quatre journalistes, qui, à l’initiative d’Adolphe Thiers, se réunisse et publie dans Le National et d’autres journaux des articles de protestation dénonçant « le régime de la force » et appelant à la résistance » contre Charles X et ces nouvelles ordonnances. Ces articles devaient respecter les codes de la nouvelle ordonnance, cette à dire, être soumis à une autorisation du gouvernement, comme toutes les publications périodiques. Cependant, les articles sont parus sans autorisation, car cette autorisation leur aurait été refusé, les articles sont placardés et distribuer dans les rues de Paris. Les publications de contestation ont du succès, une nouvelle révolution éclate à Paris. Cette révolution est appelée la « révolution de Juillet » ou encore les « Trois Glorieuses ». En seulement quelques jours après des combats acharnés contre les troupes du maréchal Marmont, les insurgés, au nombre de dix-mille environ, s’emparent de l’hôtel de ville de Paris. Les députés proposent alors l’arrêt des combats en échange du retrait des ordonnances mais Charles X refuse. Le lendemain, le palais bourbon (siège de la chambre et le palais des tuileries) est occupé, la dynastie bourbon est exclue du trône pour faire place à Ferdinand-Philippe d’Orléans en tant que lieutenant-général du royaume. Malgré cette victoire, les dégâts humains sont considérables huit-cents morts et quatre-mille blessées sont à décompté. Les Français sont satisfaits de cette victoire cependant, comment le Duc d’Orléans, va-t-il organisé la monarchie avec la république ?
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