La Civilisation Atlantique

précisément des États-Unis. Au centre de l’œuvre le peintre a représenté une grosse Cadillac bleu ou sort un soldat mettant le monde en danger avec son fusil. Devant la voiture s’incline une personne assez fort, en costume, tenant sont chapeau d’une main et une mallette de l’autre, qui semble symboliser le patron capitaliste. Au-dessus de la vielle voiture se trouve une chaise électrique posé sur une colonne en pierre qui rappelle la condamnation de Rosenberg. Le peintre associe dans le même groupe le capitalisme, la violence guerrière et la violence d’un État qui a condamné à mort des innocents. La partie gauche du tableau est consacrée à la dénonciation des inégalités du capitalisme. Au premier plan à gauche deux immigrés dorment sous une sortent de cabane. À l’arrière-plan à gauche, une mère de famille vit sous une tante avec ses deux enfants, pendant qu’un groupe de jeunes enfants joue dans les fumées noires des usines. Un couple de vieux est assis sur un banc, ils ont l’air d’être triste. Au centre, un jeune enfant africain cire des chaussures pour survivre et à cote de lui se trouve des chiens habillé de petit mentaux. Tous ces éléments montrent la misère des gens dans la rue, les inégalités qui permettent qu’un animal soit mieux traité qu’un enfant, l’isolement des personnes dans des sociétés. Fougeron considère les Etats Unis comme les agresseurs (politique impérialiste), l’URSS ne faisant que se défendre face à la menace. Deux visions qui s’affrontent : modèle capitaliste et soviétique.

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