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ÉTATS-UNIS, FORCES ET FAIBLESSES D’UNE PUISSANCE

Résumé : ÉTATS-UNIS, FORCES ET FAIBLESSES D’UNE PUISSANCE. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  27 Septembre 2022  •  Résumé  •  3 680 Mots (15 Pages)  •  336 Vues

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COLLÈGE STANISLAS

COMPTE RENDU DU PODCAST : ÉTATS-UNIS, FORCES ET FAIBLESSES D’UNE PUISSANCE

PAR

MARIANA PARDO LEAL

TRAVAIL PRÉSENTÉ À MR. DAUBIOUL

DANS LE CADRE DU COURS HGGSP

MERCREDI 9 MARS 2022

« États-Unis, forces et faiblesses d’une puissance » est une émission radio, ou aussi appelé un podcast, de 41,56 minutes qui parle des différents aspects et évènements qui rendent les États-Unis une puissance mondiale mais également des problèmes qui font le monde entier suspecter d’un véritable déclin de celle-ci, en évoquant toute l’histoire du pays, surtout de la présidence de Jimmy Carter en 1977 jusqu’en 1989 à celle de Donald Trump dès 2017 jusqu’en 2019, deux ans avant son départ. Le public visé sont les personnes qui s’intéressent à l’histoire des États-Unis mais principalement à ceux qui veulent comprendre comment le pays est devenu la première puissance mondiale. Ce podcast est une interview faite par Jean-Baptiste Noé pour le revue de géopolitique française Conflits à Lauric Henneton, un historien et enseignant français, spécialiste de l’histoire étasunienne. Après avoir été professeur d’anglais dans le secondaire puis à l’université, Lauric Henneton devient docteur en civilisation anglo-américaines en 2006 et ensuite maître de conférences à l'Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines. Il fait partie de multiples organisation telles que le Laboratoire ESR (États, société, religion), et occupe plusieurs positions importantes comme le coordinateur du Groupe de Recherches sur l'Espace Atlantique Moderne (GREAM) et le vice-président du Réseau pour le Développement européen de l’histoire de la jeune Amérique (REDEHJA). En plus, il est co-fondateur de la « Summer Academy of Atlantic History » (SAAH) avec Susanne Lachenicht, historienne allemande et titulaire de la chaire d'histoire moderne à l'Université de Bayreuth ; et fondateur de l'Observatoire Socio-Politique du Monde Anglophone (OSPOMA). Lauric Henneton est particulièrement connu grâce à ses ouvrages sur les éléments de la puissance américaine, notamment « La fin du rêve américain ? » paru chez l'éditorial Odile Jacob qui explore l’histoire du sentiment de déclin autant que l’espoir d’une vie meilleure qui marquent le « American Dream » ; et, « Atlas historique des États-Unis » paru aux éditions autrement qui offre plus de 100 cartes et documents pour raconter les États-Unis du XVIe siècle à nos jours. Dans de son interview en Conflits en 2019, où il parle des États-Unis de 1977 à 2019, donc de Jimmy Carter à Donald Trump, il essaye d’expliquer clairement les différents facteurs qui font de ce pays une puissance mondiale tout en évoquant ses échecs qui l’ont amené à être un pays de plus en plus détesté par le reste du monde. Il fait cette analyse et cette explication d’un point de vue extérieur vu qu’il n'est pas américain donc il n’est pas influencé par le sentiment nationaliste, c’est une vision objective et basée uniquement sur des faits. Dans cette émission ils parlent principalement de politique et de géopolitique mais ils évoquent aussi des aspects culturels, géographiques et démographiques. La diffusion est juste un échange entre le journaliste et l’historien, signifiant qu’il n’y a pas des extraits supplémentaires, cependant ils utilisent les deux ouvrages mentionnés auparavant pour exprimer des données plus précises.  Pour mieux expliquer ce podcast, nous parlerons des formes de la puissance américaine, donc du soft et du hard power, pour ensuite évoquer la vie politique américaine, en expliquant son fonctionnement et les deux partis politique du pays.

I. États-Unis : la première puissance mondiale aujourd’hui

A. Le soft power : puissance culturelle, diplomatique et l’idéologique

  • L’influence américaine se développe dès la Guerre Froide (1945-1991) pour « conquérir les cœurs pour que ces cœurs-là n’aillent pas du côté rouge ». Pour faire une forme d’américanisation des esprits et apporter de l’adhésion, les États-Unis exporte de la culture, tel que la musique western, le rock et le jazz, et la route 69 dans les 1900 et les séries de télévision dans les années 2000. La création américaine est indéniable, avec des millions de dollars dans cette institution, mais une autre la dépasse, avec plus de support fédéral, la recherche universitaire.
  • Les métropoles comme New York, où se trouve l’ONU, Los Angeles, avec l’industrie des loisirs (cinéma, musique), et San Francisco, ville connu pour le Sillicon Valley, contribuent également à la formation de la puissance américaine. Les pôles intermédiaires impulsent aussi la croissance étasunienne : Floride avec une grande partie du tourisme et les meilleures universités du pays, Houston avec la NASA (National Aeronautics and Space Administration), Pittsburg ayant un immense centre de recherche universitaire et Detroit avec les industries de luxe. Une grande quantité des villes américaines ont dans son territoires des institutions internationales, les faisant des villes monde.
  • La migration aux États-Unis fait de ce pays de plus en plus international et diverse. Les personnes attirés sont surtout des personnes extrêmement qualifiés, des populations pauvres qui vont former la main d’ouvre et des étudiants. Les personnes qualifiés sont notamment captivés par les institutions internationales, c’est le cas à Houston avec la NASA, qui a le plus d’indiens diplômés au sud-ouest de la ville, de même, à Fort Bend, sud de Houston se trouve la plus forte minorité asiatique, mettant les blancs en minorité. Plus statistiquement, les deux plus grandes immigration sont latino-américaine (Mexique, Amérique centrale), avec des personnes qui fuient des pays extrêmement instables et violents, et l’Asie, avec beaucoup d’étudiants qui vont être qualifiés aux EU.  L’immigration hispanique est vitale pour la Californie, qui possède 40 millions d’habitante et 75% sont latino-américains. Les production agricole est la principale source de revenus de l’état et sans la main de d’œuvre hispanique non qualifié (légale ou illégale), elle ne pourrait pas fonctionner.
  • L’influence culturelle des États-Unis a entrainé un sentiment d’amour envers le pays, mais avec le président Donald Trump le soft power a été oublié ce qu’il l’a rendu extrêmement impopulaire, démontrer par les sondages internationaux, tel que lors de la présidence de George W. Bush. Ce phénomène affirme des tendances peu durables en parlant de la « cote d’amour » des États-Unis, pendant de George W. Bush elle était basse, ensuite avec Barack Obama elle a augmenté et finalement elle a encore chuté avec Donald Trump. Cependant, il est envisageable que quand Trump disparaît du pouvoir et qu’un démocrate est président la cote d’amour du pays vas repartir.

B. Le hard power : puissance militaire et économique

  • Depuis la fin de la Guerre Froide, les États-Unis sont la première puissance militaire mondiale. Néanmoins, dans les dernières années, plusieurs tentatives de désengagement militaire dans des secteurs géographique tel que le Moyen Orient ont mise en question la puissance américaine.
  • Même si ce déclin de la puissance militaire a été beaucoup adressé, le retrait des troupes en Orient n’est pas un indicateur de celui-ci, mais plutôt une forme de réorganisation des priorités. Pendant sa présidence, Obama a voulu se désengager dans le Moyen-Orient pour se tourner vers l’Asie et a décidé de ne pas d’intervenir en Ukraine vu que les intérêts vitaux des États-Unis n’étaient pas engagés. Les réflexions de Trump rejoignaient celle d’Obama, même s’il était plus impulsif et dans des logiques de guerres commerciales, et de manière semblable, toujours en voulant écraser l’État islamique, il été dans une optique de retrait où les intérêts vitaux des étasunien n’étaient pas mis en danger.
  • Un autre aspect du hard power est l’économie. Les États-Unis ont toujours été tres importants sur le plan économique mondial, les positionnant comme la première puissance économique. En plus de contrôler plusieurs marchés, échanges et transactions, les échanges maritimes sont tres éminent. De plus, avec l’arrivée des migrants extrêmement diplômés, la richesses augmente de plus en plus.

II. La vie politique américaine : un modèle à suivre ?

A. Le fonctionnement du système politique étasunien

  • Le pouvoir politique aux États-Unis est principalement mesuré en grands électeurs mais aussi en sénateurs et étant donné que chaque état, sans tenant en compte le nombre d’habitant, en possède deux, les pouvoirs sont disproportionnés entre les état plutôt vide et les plus peuplés. Les élections pour la chambre des représentants n’ont presque aucune incidence sur la politique national ou fédérale mais sur elles impactent les décisions locales et donc le quotidien de la population. Cette inégalité de pouvoirs est manipulée par la méthode de découpage qui peut faire basculer un compté côté démocrate ou républicain alors même que la population est parfois minoritaire, c’est le phénomène du gerrymandering, utilisé pour la première fois en 1812 dans la « Boston-Gazette ». Ce phénomène consiste en découper des circonscriptions dans parfois des formes très exotiques pour regrouper dans des branches des électeurs qui votent de la même façon, par exemple, la Géorgie est une circonscription avec une forme tres étrange qui en réalité regroupe tous les Afro-américain, en effet, elle a des tentacules qui regroupent des villes et leurs banlieues parce que ça va être là qu’on va trouver les noirs qui votent tous pour les démocrates. Comme la majorité des personnes démocrates sont juste là, on donne une circonscription à se parti et toutes les autres autour vont être républicaines.
  • Le slogan « Make America Great Again » (« rendre sa grandeur à l’Amérique ») est devenu célèbre lors de la campagne de Donald Trump en 2016, mais il a été employé pour la première fois par Ronald Reagan en 1980, ce qui montre une continuité qui n’est pas très étonnante vu que Trump n’a pas inventé grande chose, il a emprunté beaucoup. Reagan met en valeur ce slogan attendu que on vient de sortir de la présidence de Jimmy Carter, de 1977 à 1981, marquée par la faiblesse, le deuxième choc pétrolier, l’Iran qui tombe, l’Afghanistan qui est envahi par conséquent un sentiment de malaise et de crise de confiance, et le pays a besoin d’une personne forte, d’un Reagan. En 2016, Trump essaye de faire le même discours en décrivant Obama comme quelqu’un de faible qui a fait perdre la puissance à l’Amérique en s’excusant beaucoup du rôle des Américains sous le mandat de Bush. Dans une certaine manière, tous les candidats d'opposition, indépendamment du parti politique, utilisent le slogan « Make America Great Again » expliquant comment le président de moment est faible et c’est eux de l’extérieur qui vont remettre en puissance à l’Amérique.
  • Lors des élections, la pays se bénéfice de deux grilles d’analyse. La première, et la plus utilisée, est la question qui se pose tout étasunien « ma situation financière est-elle meilleure qu’il y a 4 ans ? », et dépendant de la réponse et des politiques présentées par chaque parti, ils choisissent leur candidat. L’autre analyse, qui est plus difficile pour l’électeur moyen, est la question « le pays va-t-il mieux économiquement mais également sur la scène mondiale ? » qui revient à la véritable grandeur de l’Amérique chiffrable par rapport au PIB des autres, mais que la plupart des électeurs ne voient pas.
  • De plus en plus, la situation politique aux États-Unis se ressemble à celle en France par rapport à « l’identité » des partis politiques. Aujourd’hui beaucoup de partis politiques ne savent pas où ils habitent, et les démocrates et les républicains ont le même problème. Pour illustrer ce propos, les néoconservateurs, qui seraient normalement rattachés aux républicains, sont des interventionnistes, but qui ne décrit pas le parti républicain. Également, lors des élections entre Hillary Clinton et Barack Obama pour être le candidat à la présidence une véritable ligne de fracture entre les deux s’est imposée avec une Clinton interventionniste et un Obama beaucoup moins, les deux étant du parti démocrate.

B. La réorganisation intellectuelle du parti démocrate

  • Comme évoqué avant, le slogan « Make America Great Again » est utilisé par tous les candidats mais de différentes façons. Pour le démocrates, cette devise signifie voter pour un démocrate étant donné que Trump a cassé la grandeur de l’Amérique dans tous les sondages internationaux, donc rendre sa grandeur à l’Amérique c’est casser le « spiral Trump » et mettre quelqu’un de « normal », tel que Joe Biden, à la tête du pouvoir.
  • Une des questions posées par les électeurs est « c’est quoi être démocrate ? est-ce que c’est suivre les idées de Biden ? ou est-ce que c’est plus à gauche ? », et la réponses est encore attendu. Un des facteurs qui mettent le parti plus à gauche est les mouvements sociaux, tout d’abord avec le « Occupy Wall Street », un mouvement de protestation contre les inégalités économiques et l'influence de l'argent en politique qui a commencé dans le quartier financier de Wall Street à New York, en septembre 2011, qui s’est après rattaché au mouvement « Black Lives Matter » (BLM) dédié à la lutte contre le racisme et en particulier la brutalité policière. Le grand défi des démocrates est de combiner ces mouvements d’oppositions dans le parti, qui sont plus à gauche que la ligne Bill Clinton qui était plus de centre-gauche.

C. La réorganisation intellectuelle du parti républicain

  • Les positions du Parti républicain par rapport à l’économie ont évolué au cours du temps. Aujourd’hui, le conservatisme fiscal du parti comprend le soutien à la baisse des impôts, le capitalisme du libre marché et les restrictions sur les syndicats. Toutefois, certains états, comme l’Arizona, ont un pouvoir économique qui a longtemps était à l’ancienne manière républicaine : pour la circulation des bien des personnes, puis qui ferme les yeux sur l’immigration illégale parce que ça fait de la main d’œuvre ne soit pas chère, et donc qui entraine une augmentation des profits pour les entreprises employeuses et un essor au niveaux économique.
  • Le mur à la frontière avec le Mexique a été une des mesure les plus importantes de Trump pendant son mandat. Le président américain, en s’appuyant des travaux de Fernand Braudel, disait que le Mexique était l’ennemi. Il a été comparé à Samuel Huntington, un politologue américain connu grâce à ses ouvrages « The Hispanic Challenge » et « Clash of Civilizations », qui disait que, d’un aspect démographique et culturel aussi, les immigrants latino-américains sont susceptibles à détruire les États-Unis tels que nous les connaissons.
  • Dans les dernières années, dès 1980, les républicains ont beaucoup changé dans plusieurs secteurs, par exemple, John McCain, ancien président américain, travailler avec les démocrates et pas contre, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui. Il y a eu une forte militarisation et radicalisation des républicains entre les années 2000 et 2010 entrainant le changement du parti qui est devenue beaucoup plus hostile aux démocrates. Autant, la politique migratoire de Trump, surtout avec le mur à la frontière avec le Mexique, a connu beaucoup de résistances vu qu’elle était le contraire de celle de quelques républicains historiques, comme Reagan qui a accueilli des centaines de milliers de clandestins mexicains dans les années 80 parce que c’était une mesure disons libérale de ce point de vue économique.

L’essentiel du message transmis par Lauric Henneton dans ce podcast de la revue Conflits est que l’influence américaine est tres important depuis plusieurs années et que grâce à celle-ci le pays est devenu une puissance mondial que, pendant très longtemps, les autres admirer et songer de faire partie de sa société. Cependant, Henneton nous a aussi montrer comment elle a changé au cours du temps, devenant de moins en moins aimée selon les dirigeants à la tête du pays. De même, il nous a montrer comment au final l’histoire se répète. Dans cette émission nous avons appris sur les différents facteurs de la première puissance mondial, tel que le soft power dès la Guerre Froide avec la musique et les séries, comme « Game Of Thrones », les métropole avec les institutions internationales (ONU, NASA) et les villes monde, comme New York et Los Angeles, et la migration de personnes diplômés mais aussi de la main d’œuvre qui poussent l’économie. Néanmoins, nous avons compris comment la « cote d’amour » des États-Unis peut changer selon le dirigeant et les politique instaurées par celui-ci. Le hard power, un autre des facteurs, est aussi un peu expliqué avec la puissance militaire et économique. De plus, nous avons compris le fonctionnement de la vie politique américaine, avec le phénomène gerrymanding et donc le découpage des circonscriptions selon le vote des personnes, les grilles d’analyse lors des élections, le célèbre slogan « Make America Great Again » qui est utilisé par tous, et finalement, la quête d’identité des deux partis américains, les démocrates et les républicains. Pour conclure, l’historien nous a expliquer les réorganisation intellectuelles des deux partis politiques, d’un côté avec les démocrates qui veulent casser le « spiral Trump » en mettant à la tête du pouvoir quelqu’un comme Joe Biden mais qui ne savent pas exactement ce qui signifie être démocrate, soit être à la centre-gauche ou plus à gauche. De l’autre côté, les républicains deviennent de plus en plus radicaux, avec des politiques économiques telles qu’à l’ancienne et des mesures migratoire qui ne rencontrent pas tous les attendus des électeurs. Cette émission fait un lien avec le thème deux du programme d’Histoire, Géographie, Géopolitique et Sciences politiques de première « Analyser les dynamiques des puissances internationales », surtout avec le chapitre 6 « La puissances des États-Unis aujourd’hui », tel que dit au début du podcast. Les points en commun entre les leçons du programme et les informations dites par Lauric Henneton sont nombreux, mais il y a des propos qui manquent ou quelques en plus. Il est bien évoqué dans les deux que les États-Unis est une puissance mondiale depuis plusieurs années qui s’est construit à partir du soft et hard power, mais quelque chose qui n’est pas mentionné dans le podcast est comment la puissance militaire et diplomatique est grande, avec 610 milliards de dollars en 2017 comme budget militaire, le positionnant comme première puissance mondial, et le fait que les États-Unis a été un des fondateur des Nations Unis en 1945 lui donnant un grand pouvoir diplomatique, surtout avec le droit de veto qu’il possède en tant que membre permanant du conseil de sécurité. Le soft power est beaucoup mentionné dans cette émission, surtout avec les métropoles et les villes monde ce qui n’est pas beaucoup en parlé dans le programme, mais l’historien laisse un peu de côté l’économie et le fait que le pays est une des premières puissances économiques mondiales, ainsi que sa puissance comme acteur de la mondialisation et la consommation. Finalement, même s’il est mentionné quelques fois, les limites et contestations de la puissance américaine ne sont pas mises en valeur, avec les rivalités géopolitiques entre le pays et la Chine ou la Russie, la diminution de la production industrielle et les inégalités qui marquent la société étasunienne. Le futur déclin de la puissance américaine n’est pas du tout en parlé, causé par l’antiaméricanisme, le déficit public et commerciale, et l’instabilité politique du mandant de Donald Trump. Toutefois, dans le podcast on parle beaucoup plus des détails de la politique américaine, avec le système des grands électeurs, du Sénat et du découpage des circonscription, tout comme, des idéologies démocrates et républicaines, avec ses avancées et ses limites. Les États-Unis ont toujours été glorifiés comme une puissance dans laquelle tout le monde est le bienvenu, qui est économiquement stable et qui soutient les pays sous-développés, c’est l’endroit où les rêves peuvent se réaliser et où « la discrimination et les différences raciales n'existent pas », mais tout cela est une façade qui cache une société extrêmement fracturée, qui n'est pas vraiment mentionné dans le podcast. Dès la conquête du territoire étasunien la différence entre les personnes avec une couleur de peau claire et celle avec une couleur de peau foncée ont été au sein de problèmes d’égalité et de droits. Après l’abolition de l‘esclavage, la ségrégation divisé la population encore mettant les personnes noires en bas d’une pyramide sociale imaginaire, et même après l’abolition des lois qui permettaient aux blancs d’exclure les afro-américains ouvertement, la discrimination à persister de manière plus subtile, mais en mai 2020 avec la mort de George Floyd, les problèmes de différenciation raciale ont été découvert et le mouvement « Black Lives Matter » (BLM) à prit du pouvoir et ouvert les yeux de plusieurs personnes. Lors des multiples manifestation après la mort de Floyd, plusieurs artistes ont pris la parole à propos du sujet, un d’eux étant l’artiste de rue Bansky qui a partagé sur les réseaux sociaux une peinture rendant hommage à BLM. L’œuvre représente le drapeau américain prenant feu à partir d'une bougie commémoratif à côté d'un portrait d'une silhouette noire, évoquant comment la puissance américaine commence à s’effondrer. Dans la publication Instagram, l’artiste dit : « Au début, je pensais que je devais me taire et écouter les personnes noires à propos de ce problème. Mais pourquoi ferais-je cela ? Ce n'est pas leur problème, c'est le mien. Les gens de couleur sont abandonnés par le système. Le système blanc. » (Traduit de l’anglais), et il a raison, les problèmes de ce types doivent être en parlé pour essayer d’éduquer les autres et peu à peu les réglés ; l’émission ne parle pas du tout des inégalités dans le pays, et même s’ils mentionnent le mouvement BLM, ce n’est pas assez, ils ont l’espace et l’opportunité de se faire écouter par des réseaux comme celui-ci, mais ils n’en parlent pas quand ils devraient.  

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