La palette de Narmer
Commentaire de texte : La palette de Narmer. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Marion Stierlam • 16 Octobre 2019 • Commentaire de texte • 1 264 Mots (6 Pages) • 916 Vues
Comment rédiger un commentaire de TD
- Amorce/accroche
- Nature du document
- Contexte précis du document
- Analyse
- Bibliographie
- Problématique
- Annonce du plan
TD 1 : La Palette de Narmer
- Capter l’attention de l’auditoire
- Document unique
- Aucun parallèle
- Plus vieux document écrit de l’Humanité
- Palette à fard pour broyer des minerais colorés utilisés pour maquiller la femme, les prêtres et habiller des statuts
En forme de bête sauvage
Durant la période de Nagada II et trouvé dans un sanctuaire
- Objet de luxe, découvert durant les fouilles de Quibell à Hiérakonpolis
- Epoque prédynastique
. Nagada I ( ca. 4000 – 3600 )
. Nagada II ( ca. 3600 – 3300 )
- Epoque protodynastique
.Nagada III ( ca 3300 – 3100 )
- Vue d’ensemble, résumé bref, identifier les éléments clés
Mettre en avant les éléments qui vont être commentés par la suite
- Source
Ouvrages généraux
Ouvrages et articles spécialisés
A quoi permet cette source ?
- Ligne directrice du commentaire
- Plan :
- Description face A + interprétation
1er registre -> 2 têtes de taureaux qui représentent la Déesse BAT ( déesse de la fertilité qui choisit qui accède au trône ) associée a Hathor qui est devenu plus connu
Les hiéroglyphes présent signifient Narmer ( Nar = poisson et Mer = ciseaux ) ce qui a donné son nom à cette palette
2eme registre -> On y voit le pharaon représenté de plus grande taille avec la queue de taureau dans la main, dernière lui un serviteur lui tient des sandales dans la main et devant le pharaon, on retrouve une procession de petits soldats portant des enseignes en forme d’animal. Le pharaon est coiffé de la couronne rouge de Basse Egypte et regarde en direction de 10 individus allongés en deux colonnes de 5.
3eme registre -> On peut voir deux animaux avec de grands cou entrelacés et attachés juste en dessous de la tête par deux hommes qui les tiennent fermement
4eme registre -> Dans ce registre, on voit un taureau avec la tête baissée marchant sur un homme nu, ce taureau est en train de détruire des fondations a l’aide de ses cornes
Interprétation : Sur cette face de la palette, on comprend que l’on est face à une procession militaire menée par le pharaon de Basse Egypte qui regarde en direction de ce que l’on peut supposer être des cadavres d’ennemis. Au registre suivant, on peut comprendre que les 2 animaux enlacés représentent l’union de la basse et de la haute Egypte avec au centre la création du cosmétique pouvant rappeler la création d’un union. Malgré tout, ils sont « enchainés » par deux hommes qui essaient de les détacher ce qui peut représenter la fragilité de cet union. Au dernier registre, le taureau peut représenter le Pharaon qui détruit les fondations d’une ville en écrasant un ennemi qui lui est affilié à la Haute Egypte.
- Description face B + interprétation
Le premier registre est identique au premier registre de la face A
2eme registre -> Sur ce registre, on y voit le pharaon représenté d’une grandeur considérable, coiffé de la couronne de Haute Egypte tenant dans la main droite une massue dirigée vers la tête d’un ennemi à ses pieds. On voit derrière lui un serviteur qui lui tient ses sandales et en face du pharaon on y voir un faucon, représentation du dieu Horus ( Dieu faucon ) qui est posé sur des papyrus, symbole de la Basse Egypte, qui sont eux même posés sur le corps rectangulaire d’un autre ennemi.
3eme registre -> On y voit 2 ennemis nus, l’un dépourvu de ses parties génitales, tous deux « écrasés » par le plafond sous lequel ils se trouvent
Interprétation -> Sur cette face de la palette, on comprend que l’on est encore une fois confronté à une scène de guerre ou de torture. En effet le pharaon semble prêt à frapper la tête de l’ennemi dont il tient les cheveux à l’aide de sa massue. Le faucon symbole de la Haute Egypte semble incarner la victoire de la Haute Egypte sur la Basse Egypte représenté par les papyrus car il tient fermement la tête de l’ennemi sur lequel il se trouve. Dans le dernier registre, on peut comprendre que celui ayant perdu ses parties génitales est privé de réincarnation qui est possible seulement si l’individu possède encore ses attributs ci, ainsi la palette met en avant l’utilisation de la torture.
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