L'ouvrage intitulé Religion et Piété à Rome
Commentaire de texte : L'ouvrage intitulé Religion et Piété à Rome. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Sampieru Andreani • 19 Mai 2016 • Commentaire de texte • 996 Mots (4 Pages) • 700 Vues
Le document ci-dessous est un texte extrait de l'ouvrage intitulé Religion et Piété à Rome, publié à Paris en 2001. l'auteur John Scheid, est un historien français, né en 1946 à Luxembourg, spécialiste de l'Antiquité romaine, professeur au Collège de France depuis 2001.
John Scheid présente dans ce livre, une synthèse des cadres généraux de la religion romaine. Il observe des hommes, étudie leurs comportements, leurs croyances à travers des textes et des monuments dont il révèle la cohérence interne, les lignes de force, le sens.
Sur ces pages ci-dessous extraites de ce livre et qui font office de document, il se dégage deux parties, Une trame linéaire en deux partie est donc nécessaire pour appréhender ces pages extraites de ce livre, c'est pourquoi le commentaire portera d'abord sur le premier paragraphe avec en fond l'analyse du point de vu de l'auteur sur le comparatisme religieux et ensuite dans la deuxième partie une analyse du point de vu de l'auteur sur les différentes sources et la préservation du patrimoine.
Dans le premier paragraphe que l'on peut considérer comme une première partie des pages extraites de ce livre,
les deux premières phrases lignes 1,2 et 3 [Le fantasme...musulman.]
l'auteur nous parle du « fantasme de l'archétype » qui peut se définir en un symbole universel d'un type de modèle idéal à un groupe, comme à des peuples européens ancien ou à des intégrismes religieux actuelles, on peut penser à Platon et sa théorie des formes, c'est donc selon lui l' image d'un idéal que l'homme se fait et qui en somme résulte de l'inconscient, aussi bien pour des sociétés anciennes ou des religions actuelles.
Quand l'auteur parle de « comparatisme indo-européen » le terme comparatisme évoque en définition généralement l'étude comparée de différents éléments, en l’occurrence ici l'histoire et les religions, c'est donc l'étude qui analyse les différences d'interprétation des thèmes et idées communs aux religions du monde.
À noter que le terme « les intégrismes » évoqué ligne 2, n'est Sûrement pas d'usage polémique et péjoratif, l'auteur fait référence à sa définition originelle qui est l'évocation des courants traditionalistes dans les religions.
Dans la troisième phrase qui suit, lignes 3 et 4, [tous ces mouvements...l'observance,] John Scheid nous dit que « ces mouvement » qui sont des mouvements religieux, tentent de reconstruire leurs religions respectives en remontant à leurs origines c'est-à-dire dans leurs primitivités avec pour forme un état « parfait » il veut sûrement dire par là dans le sens accompli ou absolu du religieux c'est-à-dire d'obéissance à des règles ou des préceptes d'une communauté donnée, comme par exemple l'observance des préceptes du Coran.
Il poursuit en disant aux lignes 4 et 5, que « ces mouvements » ne tiennent pas compte de l'histoire, de leur histoire, c'est-à-dire de leur construction historique autour des textes sacrés ou des textes normatifs qui se sont cumulés et qui ont évolué selon les périodes. Les textes normatifs sont des textes qui ont une forte valeur coercitive, comme des lois ou des préceptes. Donc en somme il nous explique que « ces mouvements »
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