Guerre froide: deux modèles s'affrontent de 1947 à 1975
Cours : Guerre froide: deux modèles s'affrontent de 1947 à 1975. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 11 Novembre 2013 • Cours • 310 Mots (2 Pages) • 967 Vues
Manon
Vergain
La guerre Froide : deux modèles qui s’affrontent de 1947 à 1975
Depuis la chute du système nazie à la sortie de la Deuxième Guerre Mondiale, deux modèles s’affrontent. Les Américains et l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques se posent en vainqueurs ayant délivré respectivement l’Europe de l’Ouest et l’Europe de l’Est. Bientôt, les deux blocs s’opposèrent l’un à l’autre, de par des idéologies opposées. Ayant libéré l’Europe de l’influence nazie, les deux modèles s’érigèrent en vainqueurs, partant dans une courte alliance avant que les conflits d’influence ne surgissent et n’entrainent l’URSS et les Etats-Unis dans un conflit d’envergure mondiale. S’il n’y eut jamais de réel conflit ouvert entre les deux blocs, on peut cependant se demander comment s’est manifesté l’affrontement des modèles américains et soviétiques entre 1945 et 1975. Afin de répondre à cette question, nous verrons dans une première partie l’opposition des deux systèmes, puis la bipolarisation du monde engendrée par cette même opposition et les conflits qui l’accompagnent. Enfin dans une troisième partie nous verrons en quoi il y a eu un apaisement de ce conflit : la Détente.Les systèmes Américain et Soviétique sont radicalement opposés, de par bien des manières. Tout d’abord, il existe une opposition idéologique entre eux. Les Etats-Unis sont une démocratie libérale, le respect des libertés individuelles y est les fondements de la démocratie américaine. La liberté de chacun y est respectée, tout le monde a accès à l’ascension sociale grâce au travail, aux capacités d’entreprendre. La réussite individuelle y est très bien vue, on a par exemple le principe du self made-man, c'est-à-dire l’homme qui est parti de nulle part et qui atteint des sommets : Henry Ford en est un exemple. De plus, la liberté d’expression y est très présente, les journaux peuvent tout dire, c’est d’ailleurs ce qu’on appelle le 4ème pouvoir : grâce à cette liberté dont jouissent les média
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