Les relations entre les États-Unis d’Amérique et le reste du monde à travers les discours de deux présidents américains entre 1997 et 2009
Analyse sectorielle : Les relations entre les États-Unis d’Amérique et le reste du monde à travers les discours de deux présidents américains entre 1997 et 2009. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar rameshthim • 27 Mars 2015 • Analyse sectorielle • 281 Mots (2 Pages) • 1 214 Vues
Analyse critique de deux documents en Histoire
Sujet : Les relations entre les États-Unis d’Amérique et le reste du monde à travers les discours de deux présidents américains entre 1997 et 2009.
Documents à étudier
Document 1
Entretien accordé par le président William Clinton à la revue Limes en 1997 (extraits)
« Les États-Unis sont une puissance mondiale et ils ont des intérêts dans toutes les régions de la terre. [ ...] Nous ne sommes pas, et nous ne pouvons pas être les gendarmes du monde. Mais là où nos intérêts et nos idéaux le demandent, [...] nous agirons et, si c’est nécessaire, nous assumerons le rôle de leader [...], nous sommes décidés, en particulier, à favoriser le flot montant de la démocratie et du libre marché sur tous les continents [...] »
Document 2
Discours prononcé par le président Barack Obama à l’occasion de la remise du prix Nobel de la paix à Oslo en décembre 2009
« [...] On a vu naître la conception d’une « guerre juste », ce qui laissait à penser que la guerre n’était justifiée que lorsque certaines conditions étaient remplies : si on s’y résolvait en dernier recours ou en cas de légitime défense ; si la force employée était proportionnelle ; et si, chaque fois que possible, on épargnait les populations civiles.[...] Toutes les nations – qu’elles soient puissantes ou faibles – doivent adhérer aux normes qui s’appliquent à l’usage de la force. Comme tout chef d’État, je me réserve le droit d’agir unilatéralement si cela s’avère nécessaire pour défendre mon pays. Néanmoins, je suis convaincu qu’adhérer à ces normes, à ces normes internationales, renforcent ceux qui le font, et isole et affaiblit ceux qui ne le font pas [...] ».
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