Guerre Religion
Thèse : Guerre Religion. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 5 Février 2014 • Thèse • 630 Mots (3 Pages) • 823 Vues
François II succède à Henri II mais n’à que 15 ans et est inexpérimenté. Personne ne s’attendait à ce qu’Henri II meurt aussi vite. Sa mère Catherine de Médicis et
I Un climat tendu
1) Le pouvoir des Guises
Les Guises : maison cadette des Lorraines. L’aîné François de Guis incarne le titre même de noblesse d’épée. C’est grâce à lui qu’est signé le traité Cateau-Cambresis qui met fin aux guerres d’Italie. Son frère, Charles de Guise, cardinal de Lorraine, Archevêque de Reims et evêque de Metz. Profondément catholique, il lutte contre la réforme par la répression. Lorsqu’en Henri II organise la répression en 1559 par l’Edit d’Ecouen, ce sont ces deux frères qui l’organisent. Malgré leurs influences ils sont malaimés à la cour. Surtout car se sont accaparé toute les faveurs. Ils ont une trop grande influence et pour des raisons économiques ils ont diminué les pensions des nobles ayant participés aux guerres d’Italie. Ils sont considérés comme des étrangers car viennent de Lorraine.
2) La conjuration d’Ambroise
Le but est de soustraire le jeune roi à l’influence néfaste des Guises. A la tête de cette conjuration on trouve Jean du Bary, seigneur de la Renaudie, protestant. Conjuration plus politique que religieuse. Le 12 février les Guises en sont avertit et partent à Ambroise. Les conjurés ne s’entendent pas, les gardes arrêtent les plus suspects mais sont relâché. Le 8 mars, les conjurés attaquent mais c’est un échec cuisant. Les prisonniers sont condamné à mort comme le chef de la conspiration, les quatres parties de son corps coupé et montrait à la vue de tous.
François de Guise demande alors au roi de lui donner plus de pouvoir ce qui arrive le 15 Mars 1560 où il est nommé Lieutenant général du royaume. Son regard sur pose sur Louis de Condé, prince de sang qui pourrait prétendre à un poste plus important. Il est arrêté pour avoir participer à la conspiration même si ce n’est pas le cas.
Parralèlement, Jean de Monluc, Charles de Marillac, Cardinal de Lorraine et Michel de l’Hôpital font l’Edit de Romorantin le mai 1560 entre l’hérésie et . On tolère l’hérésie si elle n’entraî,e ,i opposition au roi ni trouble publique. Les protestants ont enfin le droit d exister mais n’ont pas le droit de culte.
Néanmoins, François II promet assemblée mais décède le 5 décembre 1560. Son frère cadet Charles IX lui succède mais il n’a que dix ans alors Catherine de Médicis assure la régence.
3) Catherine de Médicis.
Ecarte les Guises et appelle François de Bourbon, prince de sang royal. De 1560 à 1589 va influencer son fils. Fille de Laurent de Médicis et de Madeleine de la Tour d’Auvergne, nièce du pape Léon X ce qui fait que les français vont voir en elle l’émissaire de la papauté. Mais elle ne va pas apporter l’influence que le pape voulait en la mariant à Henri II. On considère que c’est une femme qui veut gouverner et influence trop ses enfants. Elle prélivigie les dépenses des arts dans des dépenses plus utiles. Ses ennemis les plus virulents jusqu’à l’accusé de sorcellerie. Cependant elle va, durant toute sa vie, chercher des moyens pacifiques pour faire entente entre protestant et catholique,
...