Eau et pétrole en arabie saoudite
Compte rendu : Eau et pétrole en arabie saoudite. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar iihh123 • 2 Février 2022 • Compte rendu • 464 Mots (2 Pages) • 505 Vues
Étude de cas : Eau et pétrole en Arabie Saoudite
objectif : comprendre comment les Saoudiens gèrent ces ressources.
Vocabulaire :
baril = unité de mesure du pétrole qui correspond à 159 litres.
Conduite = canalisation dans laquelle circule de l’eau, du gaz ou du pétrole.
Désalinisation = processus qui permet d’obtenir de l’eau douce à partir d’eau salée (eau de
mer)
Hydrocarbures = pétrole et gaz.
Nappe fossile = réserve d’eau souterraine qui ne se reconstitue pas (non renouvelable)
Localisation :
Pays :
Continent :
Population :
Doc 1 : Shaybah, un gisement de pétrole gigantesque
Ce gisement, le plus récemment exploité, produit 550 000 barils par jour, acheminés ensuite jusqu’à
la côte par une conduite (oléoduc) longue de 600 km.
Qu’est-ce qui peut rendre l’exploitation du pétrole difficile à Shaybah ?
Comment est-il ensuite transporté (voir doc 4) ?
Doc 2 : l’utilisation locale du pétrole
« En Arabie saoudite, la consommation d'électricité augmente à un rythme de 10% par an. Le pays
produit l'électricité dont il a besoin, principalement pour permettre d'alimenter les unités de
climatisation (la température peut être supérieure à 50°C au mois d'août). Deux tiers de cette
énergie sont issus de centrales thermiques, alimentées par du pétrole. Plus surprenant, l'industrie
du pétrole est elle-même consommatrice de... pétrole, puisque Aramco, qui est la compagnie
nationale saoudienne de pétrole, absorbe 10% de la production du pays pour le fonctionnement des
pompes et des unités de désalinisation de l'eau qui, pour une bonne part, est injectée dans les
gisements pétroliers »
Sources diverses.
Relevez les 3 utilisations du pétrole présentées ici.
Doc 3 : une nouvelle politique agricole
« Pour assurer sa sécurité alimentaire, l'Arabie saoudite a mis en place une politique permettant de
transformer un désert en périmètres irrigués. Alors qu'il ne produisait que 3 000 tonnes de blé en
1974, le royaume est devenu autosuffisant en 1984, et le 6e exportateur mondial de cette céréale en
1992. Toutefois, ce modèle est de moins en moins d'actualité, du fait de l'épuisement des eaux
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