Résumé - Apologie pour l’histoire ou le métier d’historien
Résumé : Résumé - Apologie pour l’histoire ou le métier d’historien. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar nortenaske le quang huy • 11 Décembre 2024 • Résumé • 1 879 Mots (8 Pages) • 10 Vues
Résumé - Apologie pour l’histoire ou le métier d’historien
Préface
Livre = défense de l'histoire
Histoire = science poétique car utilise des mots + science humaine
pas faire du positivisme + besoin de collecter les faits
processus du métier d'historien = comprendre le passé par le présent et le présent par le passé
historiens a besoin de différents outils car problème historique répond à une documentation spécialisé
Introduction
Parle de la légitimité de l’histoire →tout le monde s'intéresse à l’histoire
ancrer dans le temps : chrétiens ont des livres d’histoire et pas de mythologie
l’histoire permet de divertir, il y a une volonté d’apprendre les choses de l’histoire
utilité de l’histoire : au sens pragmatique →pour agir raisonnablement ne faut-il pas d’abord comprendre ?
histoire science en marche mais aussi dans l’enfance
histoire est une science récente →avant emprise de fictions
2 courants qui veulent faire de l’histoire une science irréfutable → mettre de côté l’évènement (Durkheim) = mettre de côtés des réalités rebelles à un savoir rationnel /les historiens historisants avec des jeux esthétiques + exercice d’hygiène favorable à la santé de de l’esprit
besoin de se repentir et d’y réfléchir pour les jeune historiens
Chapitre 1 : L’histoire, les hommes et le temps
histoire n’est pas la science du passé car des phénomènes qui n’ont d'autre caractère commun que de ne pas avoir été contemporains comment en fait-on la matière d’une connaissance rationnelle
Avant on racontait des événements avec comme seul liens de s’être produit en même temps
histoire de la terre n’est pas du domaine de l’histoire sauf si elle rejoint des préoccupations de notre histoire à tous →si les phénomǹes physiques agissent/influence sur/ par l’homme alors domaine de l’histoire et pas de la géologie
⇒objet de l’histoire = les hommes
Histoire = science ou un art car il y a besoin de mots et non par exemple les maths →besoin d’une finesse de langage
Le temps dans l’histoire est important car définit le contexte mais temps est continu mais aussi en perpétuel changement
volonté d’avoir une origine unique mais pas d’origine unique, pas de point initial et faire attention à la glorification du primitif
certaines histoire ont besoin d’une origine (ex : histoire de la religion) car c’est un critère de valeur
Il ne faut pas confondre une filiation et une explication →étymologique qui pense avoir tout dit quand ils ont trouvés l’origine d’un mot sans en expliquer le cheminement et pourquoi il y a eu ce cheminement
⇒pourquoi la transmission c’est fait à cette date
Question de l’étude du présent proche car on ne peut pas comprendre juste l’actuel sans avoir étudier le passé
+ condition humaine n’ont pas subis de changement en 2 générations + il y reste la conduite traditionnelle
si on veut étudier que le contemporains il faut que les événements n’ont pas de continuité mais pas possible car tous les évènements sont influencer
⇒l’homme a changé mais il y a un fond permanent
besoin d’une chronologie mais pas besoin de toujours faire du plus vieux au plus récent car il y a un risque de recherches les causes d’un phénomènes qui sont imaginaires + besoin de changer de prises de vues
⇒besoin essentiel d’entraide entre champs d’études pour comprendre toute l’image
Chapitre 2 : l’observation historique
L’historiens n’a pas assister à l’informations historiques →pas un témoin directs donc c’est un juge d'instructions
connaissance du passé est nécessairement indirecte →pas une mauvaise choses car les témoignages peuvent être plus fiable que de voir l’action soit même
les témoignages sont donc très importants mais il peuvent être biaisé dans son analyse par ses émotions
+ informations passent de personne en personne et sont donc changés
en excluant tout autre possibilité d’explication, cela nous permet de passer de l’objet véritablement constaté au fait dont cet objet apporte la preuve →ce qui nous apporte des témoignages directs (archéologie)
mais documents archéologiques pas les seuls à être de 1ere main : une règle de droit incorporé dans un texte, un trait de langage
Mais on ne peut pas tout savoir →le problème de l’absence ou non de témoignages n’est pas seulement un problème pour les historiens car histoire ne se résume pas à des témoignages écrits + passé ne se modifie pas mais les connaissances oui
Il y a des témoignages faits pour nous (publication) →donne des information chronologiques ; d’autre non (privé) →peut avoir des déformations mais pas dans un but de postérité
⇒maintenant on s'intéresse pas à ce que les textes disent mais aussi à ce qu’ils laissent entendre
⇒savoir interroger les sources et donc il faut une direction mais cela peut être influencé par des préjugés
il y a un besoin de différents types de témoignages où il y a des spécialisation →besoin de bases dans tout et donc de travailler en équipe pour palier à ce problème
Catastrophes et événements majeurs permettent de conserver les documents et de nous les transmettre mais surtout les révolutions →historiens du présent n’ont pas cela confidence involontaire
document peuvent être perdus à cause de la négligence ou encore plus dangereux, le besoin du secret
Chapitre 3 : la critique
Tous les textes ne sont pas véridiques mais il faut faire attention à son bon sens à cause des généralité car c’est un état d’âme qu’on ne partage plus
Témoignages peut être influencé par l’imposture/erreur→tromperie sur l’auteur et la date ou la tromperie sur le fond
il ne faut pas juste constater mais aussi connaître les motifs
pourquoi on trompe : par vanité mais il y a des périodes dites mythomanes (Moyen-Age) avec des faux diplomes et decrets par intérêts et la fraude amène la fraude
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