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Les Français dans la Première Guerre mondiale

Résumé : Les Français dans la Première Guerre mondiale. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  14 Novembre 2023  •  Résumé  •  5 708 Mots (23 Pages)  •  157 Vues

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TD1 : Les Français dans la Première Guerre mondiale

La France dans la 1er GM, pov de l’Etat (stratégies etc…)🡪  les français pov de TOUS les français (hommes, enfants, femmes, personnes âgées).

13 millions de français mobilisés pour une population de 40 millions de français.

Aucune catégorie socio-professionnelle n’est épargnée, ni aucune région.

Les soldats originaires de l’Empire (des colonies), ont été mobilisés, mettant pour la première fois les pieds sur le sol européen.

De terribles combats ont eu lieu en Lorraine, contrairement au sud-ouest, et au massif central.

90% des morts sont des soldats, donc plus de femmes entre 20 et 40 ans que d’homme, beaucoup d’entre-elles sont célibataires 🡪 conséquence démographique (déficit de naissance).

Beaucoup de ceux qui reviennent du front ne sont plus en capacité de reprendre leur place dans le monde du travail. Des dispositions sont mises en place par l’Etat avec des associations.

  • Antoine Prost dirigera une association d’ancien combattant
  • Dans les transports en commun, des places seront réservées pour les mutilés
  • Les traumatismes suscitent des méfiances => perte de raison

Hécatombe, les moyens de tuer sont incomparables. La puissance industrielle est mise au service de l’effort de guerre.

Maurice Genevoix, membre de l’Académie française, a relaté le quotidien des combattants français.

  • Guerre de position
  • Les allemands utilisent les obus par millions, + des attaques de gaz
  • Vie quotidienne dans les tranchées difficiles, même en dehors des combats
  • Expression « maudit métier », situation inconnu et meurtrière

Sur le ravitaillement les Fr ont moins souffert que d’autres armées 🡪 robuste agriculture française

Les autorités militaires assuraient le moral des troupes en acheminant vite le courrier. Pour ceux qui n’avaient pas de famille, des parrains/marraines de Guerre étaient mobilisées.

  • les soldats pouvaient donner des informations, nouvelles rassurantes et édulcoré. Critique envers les chefs militaires, qui multiplient les offensives.
  • Ce n’est plus « la » Guerre, mais « leur » Guerre 🡪 la censure ne marche plus, les mutineries sont condamnées

1915 : Pétain est désigné au commandement des armées

1917 : Crises des mutineries, mais pas de révolte généralisée.

  • brutalisation des sociétés Européennes et au-delà.

Rôle des femmes dans la Guerre : travail dans l’industrie textile, l’artisanat, la métallurgique, les transports, dans les activités de services, dans les soins. Elles prennent en charge des travaux, fait de base par les hommes 🡪 nouvelle place de la femme dans la société de guerre, jusqu’à la paix

  • les munitionnettes 

L’Etat a besoin d’argent pour financer l’effort de Guerre 🡪  appel au don, ou à un emprunt => appel au sens patriotique.

Les besoins ont été tels qu’une aide extérieure a dû être faite (Etats-Unis) 🡪 Une inflation s’est créée.

  • Guerre totale : mobilisation humaine sans précèdent, sur le front et en arrière au niveau de l’implication des civils 🡪 conflit a l’échelle mondiale

TD2 : Pratiques et cultures religieuses en France au XXe siècle

L’histoire religieuse contemporaine, a longtemps était peu étudié en France en dehors de ce qui attrait aux relations entre l’église et l’Etat.

Les deux historiens Gerard CHOLVY, et Ives-marie HILAYRE, on écrit une histoire religieuse de la fr contemporaine. Ils ont permis de corriger des affirmations inexactes, comme la déchristianisation avec les persécutions religieuses pendant la Grande Terreur 🡪 le rôle officiel de l’église est remis en cause

Evolutions des pratiques religieuses :

1760-1810 : Baisse de la pratique et de la ferveur religieuse

1810-1860 : forte remontée de la pratique religieuse

1860-1910 : forte baisse de la pratique religieuse

1910-1960 : remonté forte de la pratique religieuse

1960 à nos jours : forte baisse de la pratique religieuse

Ce rythme des évolutions de sensibilité religieuse, est différent des rythmes économiques ou politiques. Ce n’est pas la rév qui déclenche le détachement mais l’influence.

Guillaume Cuchet observe une forte baisse en France de la pratique religieuse, (5% des adultes assistent à un office religieux par semaine)

Il y a un + fort taux de la pratique religieuses : le long de la frontière suisse, en Corse, au Nord-Ouest et en Alsace Lorraine. Ça s’explique, car les protestants étaient proches et l’Eglise catholique et veillé à encadrer les populations proches du monde protestant via la paroisse.

Une Université est créé pour les Jésuites à Pont-à-Mousson, + création de congrégations religieuses pour instruire le catéchisme aux enfants.

A l’Ouest, de terribles persécutions ont lieu pendant la révolution, rapprochement de la population à l’Eglise.

Pour les régions montagneuses, les paroisses étaient des lieux de solidarité, de réalité spirituelle et d’entraide.

En 1872, un recensement indique que la plupart des Fr se rattachent au culte catholique.

Être sans religion ne signifie pas être athée 🡪 agnostique : personnes qui ne se sentent pas en mesure d’affirmer qu’elles croient en l’existence de Dieu.

  • Aux Etats-Unis, les sociologues appels les personnes qui ne se sentent pas liée à l’église des « nones ».

Certaine personne distingue, leur conviction de  leur sentiment d’appartenance communautaire.

Il y a de - en - de prêtres. Au XXe de nombreux prêtres partaient de la Fr en tant que missionnaire dans le monde. Ajd, la tendance s’inverse, bcp de prêtres viennent d’Afrique, de Pologne, du Vietnam pour venir servir en France 🡪 baisse de la pratique religieuse en Europe.

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