La bataille d’Alésia

Avant : César veut égaler son rival politique Pompée. Il commence par conquérir une partie de la Gaule pour avoir accès à tous les autres pays. La conquête de la Gaule est facilitée par la mésentente entre peuples gaulois. Seuls quelques petits peuples résistent pour ne pas perdre leur indépendance. Vercingétorix (qui signifie chef suprême des guerriers) rassemble une armée de 80 000 hommes pour lutter contre César.

La bataille d’Alésia

Le siège d’Alésia est une bataille décisive de la fin de la Guerre des Gaules. Cette bataille était formée d’une armée de plusieurs peuples gaulois menée par Vercingétorix, face à l’armée romaine de Jules César. Elle se déroule entre les mois de juillet et de septembre 52 av JC.

Dès le début du siège, César décide immédiatement d’entourer l’oppidum pour empêcher l’entrée et la sortie de personnes jusqu’à ce que les habitants se rendent. On parle alors de siège passif.

Il fit également construire une autre fortification pour repousser une éventuelle armée de renfort gauloise.

Source : Doc.player.fr : Guy Cuvelier professeur d’Histoire – 2017

Longues d’environ 35 kilomètres cumulés, ces défenses sont composées d’une série d’obstacles (talus, fossés, palissade, tours et pièges) qui montre les compétences du génie romain.

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Les Romains étaient environ 60 000 et les Gaulois étaient approximativement 80 000 dans l’oppidum et 240 000 en dehors. Cet écart aurait dû faire une supériorité gauloise hors normes.

Entre aout et septembre les assiégés et l’armée de renfort tentent de rompre le siège mais en vain. Démoralisés, les gaulois craignant la famine, décident de se rendre et livre leur chef militaire Vercingétorix aux Romains.

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