Présentation possible oral du Bac de francais sur l’étranger d’Albert Camus

Bonjours aujourd’hui je vais vous présentez ma lecture cursive. Camus, auteur français du 20e siècle, il écrit l’étranger en 1942 durant la seconde guerre mondiale. Albert Camus, est diagnostiqué a l’âge de 17 ans de la tuberculose, maladie incurable pour l’époque, ce qui le mènera très jeune sur des sujets de l’absurde. L’étranger est une des trois œuvre a appartenir à son cycle de l’absurde avec le Mythe de Sisyphe et la pièce de théâtre Galigula et le malentendu, le cycle de l’absurde aborde principalement la question du suicide, de la condition humaine et du sens de la vie. Il meurt à l’âge de 47 ans d’une mort elle aussi absurde, dans un accident de voiture. Albert Camus ne se revendiquait pas comme faisant partie d’un genre littéraire particulier, mais on peut y trouver des similarités avec l’existentialisme, cela veut dire que l’homme naît sans but prédéfini.

Je vais maintenant vous résumez brièvement l’œuvre, Meursault, le perso principale et narrateur, apprend dès les premières ligne la mort de sa mère. Il se rend à son enterrement, indifférent il ne nous présente aucune émotion ni sentiment. Par la suite, dans la seconde partie de l’œuvre, Meursault abat un arabe a 4 coups de revolver sur une plage et donne pour cause le soleil et la chaleur. Il est alors arrêté. Meursault est par la suite jugé et condamné à mort.  

Les principaux thèmes abordés durant l’œuvre sont, l’absurdité de la vie : Ce thème central est lié à l'existentialisme, où le protagoniste, Meursault, ressent une profonde indifférence et un détachement vis-à-vis de la société et des conventions sociales.

La justice et l’absurdité du système judiciaire : Une partie significative du roman se concentre sur le procès de Meursault suite à un meurtre. L'injustice, la formalité rigide du système judiciaire et le jugement moral sont explorés à travers ce procès.

La mort : La mort est un thème omniprésent dans le livre, le livre est accompagné tout au long d’une atmosphère mortifère. L'attitude indifférente de Meursault envers la mort est significative. Sa propre exécution à la fin du roman est traitée avec un détachement presque stoïque.

J’ai choisi de lire et de vous présenter cette œuvre parce que tout d’abord j’étais curieux d’en apprendre un plus sur la différence d’une personne par rapport au convention sociales et ce que nous avons l’habitude de voir. Ce livre aborde de nombreux sujet ayant d’étroites similarité avec la sociologie humaine, me permettant ainsi d’approfondir mes connaissances en français comme en science sociale.

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