Le voyage inspiré, Jean-Côme Noguès

Fiche de lecture du livre: Le voyage inspiré

Description du livre:

Titre de l’oeuvre: Le voyage inspiré

nom de l’auteur: Jean-Côme Noguès

date à laquelle le texte a été imprimé: juin 2015

éditeur: Le livre de poche jeunesse

collection: les incontournables

catégorie à laquelle le texte appartient: c’est un roman

repères biographiques de l’auteur

époque à laquelle le texte fait référence: le XVeme siècle

genre de l’œuvre: roman de science-fiction

thème: aventure

lieux

les personnes importants

Résume par chapitre de l’œuvre

Chapitre 1:

Il s’appelait Pedro Alvarez. Il dit sa naissance dans la ville de grenade dans une famille pauvre. Il avait 14 ans qu’en la ville de grenade redevient catholiques. Cette année la sa famille s’agrandit encore et il dut partir. Le 12 mai 1492 un garçon arriva et lui griffa la joue. Alors Pedro décida de partir de Grenade pour aller vers Séville et peut etre meme jusqu’à la mer. Puis il partit. Soudain un carrosse blanc passa sans aucune escorte, Pedro s’y accrocha et espéra que le carrosse allait jusqu’à Séville. Mais il faisait très chaud ce jour la et bientôt Pedro sentit ses doigts se desserrée et il tomba par terre immobile. Il décida de dormir. Plus tard il entendit un autre carrosse qu’y s’arrêta en le voyant. Un homme en descendit et lui donna du vin pour le réveiller. L’homme lui demanda ou il allait puis il l’invita a monter dans son carrosse puis ils se mirent a discuter. L’homme lui dit qu’il l’emmenait sur la mer Océane. L’homme s’appelait Christophe Colomb et avait décider d’appeler Pedro, Chinito. Il lui dit qu’il allait l’emmener aux Indes si tout se passait bien. Le soir ils atteignirent la mer. Chinito la découvrit pour la première fois et fut impressionner. Un soir ils s’arrêtèrent dans une auberge. Pedro mangea du pigeon. En attendant Christophe Colomb avait vu un homme qui pourrait l’intéresser dans sa quête des Indes. Il l’invita a manger. Il s’appelait El Malageuño. Le lendemain matin quand ils repartirent ils étaient trois dans le carrosse. Et ils atteignirent Palos

Chapitre 2:

Au matin du 23 mai, Christophe Colomb emmena Chinito a l’église Saint Georges. Une foule de monde attendait a l’intérieur et a l’extérieur de l’église. L’arriver de Colomb provoqua un grand étonnement car personnes ne le connaissait encore dans cette ville. Il y avait eu des discussions avec Martín Alonso Pinzón le meilleur capitaine de la ville mais personnes ne s’avait de quoi il s’était s’agiter de pourquoi il n’était pas encore la. Colomb arriva a l’autel et se recueilli Chinito a ses cotes. Le notaire de Palos, Francisco Fernandez arriva et lut l’ordonnance royale. Il disait que il y avait une vieille histoire de contrebande dans la ville et que le souverain était prêt a tout oublier en échange de l’armement de deux caravelles en moins de 10 jours. Une personnes dans la foule se mit a rire très fort, d’autres rires suivirent. Puis l’ordonnance royale disait que tous ceux qui ont des comptes a rendre a la justice pourrait s’enrôler dans les caravelles et toute les poursuites pénales serait abandonnes. On demanda alors combien il fallait de marins. Colomb répondit 90. L’homme qui avait rigoler s’avança vers l’étranger, le toisa puis lui tourna le dos et s’en va. L’église se vida. Un soir Chinito entra dans une salle basse. Il entendit Pinzón et d’autres marins discuter de ce qui s’était passe. Puis Pinzón qu’il devait être un des bandits qu’il recherchait car ils seraient du voyage. Il dit aussi que il fournirait les deuc caravelles nécessaires au voyage: la Niña et la Pinta. Au matin du 3 août, tous les marins étaient réunis devant l’église. La veille la messe avait déjà réuni toute la ville. Colom se tenait debout sur la Marigalanta, la troisième caravelle, qu’il avait rebaptise Santa-Marìa. La foule se réunit dans un grand silence. Puis Colomb le capitaine donna le signal du départ. A la sortie du port un vent les entraîna vers le large. La Niña la plus rapide des trois était en tête suivit de la Pinta. Colomb surveillait régulièrement la Pinta, le bateau de Pinzón. A bord les tâches commençaient a s’organiser. Chinito veut charges de retourner les ampolletas, des sabliers qui s’écoulait en une demi-heure et qui permettait de compter le temps. Le lundi 6aout, le Malagueño descendit de la vigie et signala que la Pinta élargissait ses distances avec les deux autres caravelles. Soudain, une fumée noire s’échappa du chapeau arrière de la Pinta: s’était le signal d’alarme. La Santa-Maria se dirigea vers la Pinta et arrive la bas ils découvrirent que le gouvernail était sorti de ses gonds. Chinito commença a se demander si la chance l’avait vraiment accompagner en s’enfuyant de Grenade. En effet les taches à bord s’allongeait. Il devait maintenant monter donner des ordres au guetteur. La première fois qu’il monta il avait l’impression du vertige. Puis la troisième fois la peur s’enleva. D’un seul coup l’équipage se mit a s’agiter car le gouvernail de la Pinta venait encore de lâcher alors qu’il avait été réparé la veille. Le vieil homme, le Chinito d’autrefois se souvenait de tous ses épisodes; puis il continua à écrire. Soudainement, le vent fut contraire a eux. La navigation se fit plus difficile. Ils atteignirent la Granda Canarie que le 11 août au soir. Sur l’île Colomb chercha un navire pour remplacer la Pinta. Des personnes lui parla d’une île bleue invisible qui apparaissait a certaine personnes par moment. Quand il retourna a la Santa Maria ou Chinito l’attendait. Colomb lui parla de l’île bleue. Chinito lui expliqua lors ceux que certaines personnes de l’île lui avait raconte dessus. La Pinta veut réparer et ils repartirent a La Gomera pour remplir les cakes des bateaux. Le 5 septembre le capitaine annonça le départ au lendemain. Le soir même ils se rassemblèrent dans l’église de l’Assomption. Puis le matin meme ils partirent.

Chapitre 3:

Les jours suivants, la navigation fut lente. Le soir du samedi, la mer fut d’un rouge éclatant, puis

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