Cendrillon

I) Pièce comique ?

     -  Langage : grossièreté / fautes et gestes + caractère des persos

Le langage utilisé par certain personnage est grossier on le voit avec le vers 45-46 « ça donne envie de vomir tellement c’est dégueulasse », le langage n’est pas vulgaire il reste simplement grossier ce qui amuse le public et le script est écrit comme si on parlait oralement dans la vie de tous les jours entre amis par exemple vers 9 « peut pas s’assoir » vers 30 « C’est eux ? I’sont comme ça ? » dans ces vers les pronoms personnels sont raccourcis ou alors enlevé. Ce qui renforce le comique.

    -  Situation : quiproquo

Plusieurs scènes de quiproquo sont utilisées

    -  Fin heureuse (vs tragédie)

Cendrillon et le prince tombent amoureux et se marient. Sandra est alors libérée de sa vie de servitude et trouve le bonheur avec le prince. Les autres personnages ne sont pas si chanceux mais la fin reste tout de même optimiste et heureuse.

Exemple : disney fin heureuse également

    -  dimension du quotidien

Malgré le côté drôle, la famille a un quotidien plutôt banal.

Transition : bien montrer que derrière ces apparences des notions plus graves apparaissent

II) Une pièce tragique ?

 -  Le choix des thématiques (reprendre interview de JP) : caractère néagtif de Sandra etc..

JP explore les émotions et les différentes relations entre les personnages. La mort, l’enfance et le passage à l’âge adulte, la famille, la méchanceté, le désir, la solitude, la rencontre avec l’autre sont autant de thèmes abordés par la pièce.

    -  Aspect dramatique plutôt que tragique ? personnage de sandra (une fatalité qui frappe ou écrase les pers leur situation dépend d’eux-mêmes : cf évolution de l’intrigue, importance des confrontations, rôle de la fée qui agit comme un révélateur etc...

Sandra n’accepte pas le deuil de sa mère et au long de la pièce elle essayera de faire son deuil. La première étape du deuil est le choc puis viens le déni et suis la colère puis la tristesse une fois ces étapes passé viens l’acceptation puis la reconstruction. Ici dans la pièce la colère et la tristesse font que Sandra s’isole mais c’est alors qu’elle rencontre la fée qui va la mener jusqu’à l’acceptation puis c’est avec le prince qu’elle va se reconstruire. Le prince aussi réussira à faire le deuil de sa mère qu’il croyait encore vivante grâce à Sandra qui lui fera accepter la situation et il se reconstruiront tous les deux. Mise a part le deuil, il a une maltraitance que sandra subit

- la souffrance et l’oppression de Sandra et l’impact que cela a

Repliée sur elle-même la très jeune fille est en incapacité de surmonter le deuil de sa mère et elle se met alors à l’écart des autres, elle accepte toutes les humiliations venant de sa nouvelle famille. Ce qui l'amène à douter d'elle-même et à rechercher désespérément l'amour et la reconnaissance pour sortir de cette situation difficile. La crise personnelle de Cendrillon s'accompagne d'une crise familiale. La famille recomposée est marquée par les tensions et les rivalités entre ses membres, avec deux « clans » Sandra face aux belles sœurs et la belle-mère avec un père qui ne sait pas où se positionner mais qui est soumis à la belle-mère donc on en déduit qu’il se range de son côté pour ne pas la contredire et il laisse sa fille seule contre tous. Son père ne représente pas la figure paternelle qu’on attend de lui. Sandra est en colère contre elle-même et se rejette la faute c’est ainsi qu’elle oublie complètement de se nourrir et elle paraît prisonnière de sa douleur.

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