Alphonse de Lamartine chant d'amour vi 2 premières strophes
Commentaire de texte : Alphonse de Lamartine chant d'amour vi 2 premières strophes. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Etienne Bakawasai • 16 Mars 2023 • Commentaire de texte • 710 Mots (3 Pages) • 338 Vues
Alphonse de Lamartine est un poète qui a vécu de 1790 jusqu’en 1869, c’est a part être un poète connu pour son recueil de poème « Méditations poétiques » qui est sortit en 1820 un homme politique aux discours marquant. Il fait partie des piliers du romantisme. En 1848 il participe a la révolution de février et il proclame la seconde république. Il ne sera pas élu comme président face a sa défaite contre Louis Napoléon Bonaparte et en 1851 lors du coup d’état de Louis Napoléon Bonaparte il se retira complètement de la vie politique. Le poème que nous allons étudier est un poème qui est sorti en 1823 dans le recueil « Nouvelles méditations poétiques » donc qui s’inscrit dans le courant du romantisme dont le titre est « Chant d’Amour VI » et est le vingt-quatrième poème du recueil.Le titre du poème évoque tout d’abord quelque chose de romantique, une déclaration peut être comme un chant d’amour dédié a quelqu’un. Il est composé de 5 strophes sous forme de sixains, une strophe fait 6 vers. Nous allons donc étudier chacune de ces strophes dans l’ordre.
Dans un premier temps nous pouvons voir que le thème de cette première strophe est la beauté, nous remarquons d’abord que les rimes sont de forme AABAAB avec glacé, passée ensuite gazon et saison puis avec entre gazon et saison : lèvre et sèvre. Ensuite dans le champs de la beauté rien que dans cette première strophes nous avons les mots : « haleine glacée », «couleurs »,« fleur », « charmantes lèvres », « rapides baisers » et « fraîche saison » ce qui pose directement les bases de la strophe il y a une impression de mélancolie, de nostalgie ce qui se pose avec le parcours, «Mémoire d’une âme» nous avons une sensation d’être nous même dans la scène avec cette femme dans cette fraiche saison évoquée. La femme est comparé a une fleur, symbole de la beauté, de la délicatesse mais aussi de la fragilité car juste a coté du mot fleur nous trouvons le mot passée et avec au début du vers le mot fanera du verbe faner et le mot flétrira qui eux rentrent par contre lui dans le champs de la mort, comme une fleur que nous pourrons plus revoir qui est donc passée ou disparue, l’amante de Lamartine n’était plus ce qu’il avait connu, il l’avait perdue. Nous voyons aussi une certaine proximité avec la nature dans cette strophe avec encore une fois les mots « couleurs », « fleur », « lits de gazon », « fraîche saison » tout ces mots nous font penser au printemps la saison des amours, la saison ou les animaux sortent de l’hibernation, ce qui nous conforte encore plus dans le romantisme mais aussi de cet amour perdu de Lamartine avec la beauté et la mort qui se côtoient dans cette strophe.
Dans la seconde strophe, un nouvel axe, un nouveau thème se démarque de la première strophe : la tristesse est présente et se fait beaucoup ressentir avec les thermes « larmes » et « pleureront » et rajoute une ton un peu plus grave sur le poème que l’on aurait pu s’imaginer en lisant la première strophe mais cette mort continue a côtoyé la beauté irrésistible de cette femme avec le temps évoqué dans le therme : « De ces jours écoulés » mais qui est suivi de « qui t’ont ravi tes charmes » donc nous pouvons penser a un longue relation que Lamartine aurait eu et qu’il aurait simplement de plus en plus
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