Les figures de style

Les figures de style :

Comparaison : deux éléments mis en relation par un outil explicite (comme, semblable...)

Métaphore : comparaison sans outil de comparaison.

Personnification : attribution de caractéristiques humaines à des objets.

Allégorie : représentation d’une idée abstraite sous forme concrète.

Euphémisme : évocation détournée d’un fait pour atténuer la violence (il est parti pour dire mort)

Litote : figure qui permet de dire peu pour dire beaucoup (je ne te hais point pour je t’aime)

Gradation : énumération ordonnée suivant un ordre croissant ou décroissant (fin hyperbolique)

Hyperbole : emploi de termes exagérés par rapport a la réalité.

Anaphore : répétition en début de vers d’un même mot ou groupe.

Oxymore : deux termes s’opposent par le sens au sein d’un même groupe (le soleil noir)

Antithèse : deux termes de sens contraire s’opposent dans une phrase ou plusieurs phrases (songe aux cris des vainqueurs, songe aux cris des mourants.)

Antiphrase : figure ironie faire comprendre le contraire de ce qu’on dit (quel beau temps : alors qu’il pleut)

Métonymie : rapprochement de deux mots ayant un rapport de contiguïté ou un rapport logique.

Synecdoque : sorte de métonymie qui permet de dire le tout par sa partie. (Saison des roses pour été)

Périphrase : consiste à substituer à un nom une expression complexe (l’oiseau de Jupiter pour l’aigle)

Chiasme : parallélisme de construction qui croise la fonction syntaxique de termes qui s’opposent par le sens (mon berceau a de ma tombe, ma tombe a mon berceau.)

Question rhétorique : question dont l’énoncé contient déjà la réponse.

Répétition : on répète plusieurs fois le même mot.

Accumulation : termes qui se succèdent pour approfondir la pensée ou l’agrandir.

Enumération : juxtaposition de plusieurs termes appartenant souvent à un même champ lexical.

Pléonasme : utilisation de deux termes qui ont le même sens.

Paradoxe : proposition qui va contre ce que l’on attend habituellement.

Polyphone : consiste à répéter le même mot sous forme grammaticales différentes. (Tel est pris qui croyait prendre)

Zeugma : on approche dans la même expression un mot concret et un mot abstrait.

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