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L’analyse de la rentabilité d’un investissement

Rapport de stage : L’analyse de la rentabilité d’un investissement. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  27 Décembre 2023  •  Rapport de stage  •  1 504 Mots (7 Pages)  •  132 Vues

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Sheryn HAMNAOUI
Gaëtan KOPP

L’analyse de la rentabilité d’un investissement

Question 1 et 2)

Dans la liste des besoins, tous les besoins sont des investissements car ce sont des outils qui permettent d'obtenir des résultats de façon durable et dont le coût va être étalés sur plusieurs années.

Les machines pour cartonnage renforcé et le matériel pour les finitions sont des investissements corporels car ce sont des biens tangibles. Tandis que le logiciel est un investissement incorporel.

Il est important de différencier les investissements et ceux qui ne le sont pas afin de traiter et d’intégrer des coûts différents . Cela permet d’affecter la charge en fonction de l’usage qu’on a des immobilisations

Les 3 besoins sont des investissements de capacité car cela va permettre à l’entreprise de produire en plus.

3) Mme Fauvet a pu se renseigner sur des subventions via différentes sources :

  • Les sites des services publiques ou de l’APCE
  • Via des activités de conseil, spécialiste, fiscaliste, expert-comptable, etc
  • Via des organismes d’employeur
  • Via des revu spécialisées

4) Les enjeux d’un tel projet pour l’entreprise sont les suivantes :

 La nouvelle activité devrait permettre d’augmenter le chiffre d'affaires sans augmenter le stock ni les créances.

Le paiement comptant des clients devrait permettre de réduire le BFR global. L’entreprise aura donc un meilleur équilibre de trésorerie.

Le projet devrait permettre d’améliorer le taux d’occupation de certaines machines

Toutefois, ce projet est risqué et pourrait causer des pertes à l’entreprise.

5c) Le besoin en fond de roulement (BFR) représente la différence entre les ressources financières nécessaires pour financer les activités opérationnelles d'une entreprise et le délai nécessaire pour convertir ses actifs en liquidités. En d'autres termes, il mesure la trésorerie nécessaire pour couvrir les dépenses courantes pendant le cycle d'exploitation.Le BFR prend en compte les délais de paiement des fournisseurs, les délais de recouvrement des créances clients et les niveaux de stocks. Si une entreprise a des délais de paiement fournisseurs plus longs que ses délais de recouvrement clients et des niveaux de stocks importants, son BFR sera plus élevé.En gérant efficacement le BFR, une entreprise peut optimiser sa trésorerie et éviter des problèmes de liquidité. Cela implique souvent des stratégies telles que la négociation de termes de paiement avec les fournisseurs, l'amélioration des processus de recouvrement des créances et la gestion rigoureuse des niveaux de stocks .

6a) Ce qui est exceptionnel est imprévisible et ne peut pas donc se prévoir à long termes donc c’est pour cela qu’on ne les comptabilise pas les éléments exceptionnels car ils ne sont pas prévisibles.On ne tient pas compte non plus des charges financières car la rentabilité du projet ne doit pas être affectée par les choix de financements, elle doit être mesuré sur sa propre capacité d’autofinancement.

Il faut prévoir une variation du Bfr car l’activité peut augmenter, le besoins de stocks et de matières va donc augmenter en fonction, il peut aussi y avoir des changements sur les délais de paiements qui vont devoir avoir besoin d'un bfr supérieur.

b) Mme Fauvet nous propose de prendre en compte les impôts négatifs en cas de pertes d’exploitation car si jamais une des activité de la société est en perte et que l’activité principale est en bénéfice, cela permet donc d’avoir une réduction d'impôts.

7a) La valeur résiduelle et la récupération du BFR implique pour l’entreprise une cession d’activité, ils permettent à l’entreprise de calculer sa rentabilité.

La valeur résiduelle est le prix auquel on peut vendre les machines et la récupération du BFR est le montant de trésorerie récupéré lorsque l’entreprise cède tous les montants.

7c) Le flux net de trésorerie du produit B (537795,3333) est plus de deux fois supérieur à celui du produit A (200853,3333). Cela indique que le produit B génère significativement plus de liquidités que le produit A. La différence peut avoir des implications importantes pour la gestion financière et les décisions stratégiques de l'entreprise.

8a) La prise en compte de la VAN est plus précise que la valeur nette car celle-ci prend en compte le temps, l’année  car l’argent n’a pas la même valeur une année sur l’autre. La Van peut nous donner un coût d’investissement en coût réel et pas seulement sur des gains futurs. La VAN prend en compte tous les flux de trésorerie associés à un investissement sur sa durée de vie. Cela inclut les investissements initiaux, les revenus générés et les coûts d'exploitation futurs. En revanche, la valeur nette peut ne pas prendre en compte tous ces éléments et se limite souvent à la valeur comptable des actifs.

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